«Je voudrai délivrer un message de paix, un message de respect de la volonté populaire parce que nous avons édicté des règles de fonctionnement de la démocratie… », a déclaré Monseigneur Benjamin Ndiaye qui se prononçait, lors de son message de Noël, sur la crise gambienne, mais aussi sur le problème qui concerne plus globalement, l’Afrique.
Et sur ce sujet, le chef de l’Eglise sénégalaise martèle : «Notre Afrique est encore malade. Nous avons encore un problème de leadership, de ne pas respecter nos Constitutions. Parce que si les dirigeants africains respectent les Constitutions, les pays iront mieux. Mais si chacun veut s’accrocher éternellement au pouvoir alors qu’il a été lui-même à l’origine de la Constitution, il y a problème ».
S’adressant au peuple gambien, Mgr Ndiaye déclare : «je leur souhaite la paix, et je souhaite que celui qui a été élu puisse exercer normalement son pouvoir. Celui qui a été défait doit aller préparer ses armes pour une nouvelle compétition, mais il faut qu’il joue le jeu de la démocratie».
Et sur ce sujet, le chef de l’Eglise sénégalaise martèle : «Notre Afrique est encore malade. Nous avons encore un problème de leadership, de ne pas respecter nos Constitutions. Parce que si les dirigeants africains respectent les Constitutions, les pays iront mieux. Mais si chacun veut s’accrocher éternellement au pouvoir alors qu’il a été lui-même à l’origine de la Constitution, il y a problème ».
S’adressant au peuple gambien, Mgr Ndiaye déclare : «je leur souhaite la paix, et je souhaite que celui qui a été élu puisse exercer normalement son pouvoir. Celui qui a été défait doit aller préparer ses armes pour une nouvelle compétition, mais il faut qu’il joue le jeu de la démocratie».