L’information faisant état des difficiles conditions dans lesquelles Guy Marius Sagna a été retenue à la Maison d’arrêt et de correction (Mac ) du Cap Manuel de Dakar fait réagir l’Observateur national des Lieux de Privation de Liberté. L’organisation a dépêché une équipe d’observateurs délégués permanents, ce 4 mars 2021, pour effectuer une visite des lieux.
« Suite à des allégations d’actes de torture et de mauvais traitements sur des personnes interpellées ou récemment arrêtées, l’Observateur national des Lieux de Privation de Liberté, Madame Josette Marceline Lopez NDIAYE a dépêché une équipe d’observateurs délégués permanents, ce matin 04 mars 2021, à la Maison d’Arrêt et de Correction de Cap Manuel de Dakar pour y effectuer une visite », peut-on lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
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L’Observatoire apporte quelques précisions sur sa mission. « conformément à la loi n°2009-13 du 02 mars 2009 instituant le mécanisme, l’Observateur national des Lieux de Privation de Liberté a pour objet de vérifier le bien fondé desdites allégations ».
Elle a aussi pour mission de contrôler les conditions de prise en charge et de transfèrement des personnes privées de liberté.
Au terme de la visite, elle annonce qu’elle « va conformément à son statut et son mode de fonctionnement, dresser un rapport qui sera remis aux autorités compétentes, assorti d’avis et de recommandations ».
« Suite à des allégations d’actes de torture et de mauvais traitements sur des personnes interpellées ou récemment arrêtées, l’Observateur national des Lieux de Privation de Liberté, Madame Josette Marceline Lopez NDIAYE a dépêché une équipe d’observateurs délégués permanents, ce matin 04 mars 2021, à la Maison d’Arrêt et de Correction de Cap Manuel de Dakar pour y effectuer une visite », peut-on lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
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L’Observatoire apporte quelques précisions sur sa mission. « conformément à la loi n°2009-13 du 02 mars 2009 instituant le mécanisme, l’Observateur national des Lieux de Privation de Liberté a pour objet de vérifier le bien fondé desdites allégations ».
Elle a aussi pour mission de contrôler les conditions de prise en charge et de transfèrement des personnes privées de liberté.
Au terme de la visite, elle annonce qu’elle « va conformément à son statut et son mode de fonctionnement, dresser un rapport qui sera remis aux autorités compétentes, assorti d’avis et de recommandations ».