Dans une note parvenue à Pressafrik, le gouvernement algérien tient à préciser qu’ : «au regard de l'urgence et de la gravité de la situation, les pouvoirs publics algériens ont, immédiatement, déclenché l'état d'alerte et déployé les unités des garde-côtes algériens relevant de l'Armée populaire nationale (ANP) et de la Protection civile, dont l'intervention rapide, dans des conditions climatiques très difficiles, a permis de secourir 19 migrants, dont dix (10) Maliens, six (6) Sénégalais, deux (2) Libériens et un (1) Guinéen».
«Les opérations ont permis de repêcher dix-sept (17) corps de victimes de nationalités africaines diverses et de constater, selon les premiers témoignages des rescapés, deux (2) disparus en mer, renseigne la même source.
A en croire les autorités algériennes, les premiers soins ont été apportés aux survivants avant qu'ils ne soient acheminés à l'hôpital Ain Tirk à Oran. Et, une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de ce drame.
A rappeler que le chavirement de la pirogue contenant environ 38 migrants africains, est survenu le 29 avril dernier, au large des côtes oranaises. L'embarcation avait quitté le littoral Nador au Maroc pour rejoindre l'Espagne.
«Les opérations ont permis de repêcher dix-sept (17) corps de victimes de nationalités africaines diverses et de constater, selon les premiers témoignages des rescapés, deux (2) disparus en mer, renseigne la même source.
A en croire les autorités algériennes, les premiers soins ont été apportés aux survivants avant qu'ils ne soient acheminés à l'hôpital Ain Tirk à Oran. Et, une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de ce drame.
A rappeler que le chavirement de la pirogue contenant environ 38 migrants africains, est survenu le 29 avril dernier, au large des côtes oranaises. L'embarcation avait quitté le littoral Nador au Maroc pour rejoindre l'Espagne.