La population de Dakoro où a eu lieu l’enlèvement est sous le choc. Les habitants de la ville, située à une centaine de kilomètres de Maradi, ne comprennent toujours pas que des humanitaires, qui prennent en charge 10 000 enfants malnutris dans cette zone désertique, soient pris en otage.
De source officielle, arrivées sur les lieux, six personnes ont été enlevées : quatre Nigériens, un Tchadien blessé et emporté par ses ravisseurs, et un Guinéen, administrateur de l’ONG, et dont le passeport a été retrouvé sur les lieux.
Plusieurs sources concordantes affirment que les ravisseurs ont séjourné pendant plusieurs jours à Dakoro et ont bien observé le terrain.
Un autocollant de l’ONG OCHA, avec un drapeau de l’Union européenne, sur le portail de l’ONG, a attiré l’attention des informateurs des ravisseurs et une mission de travail partie de Niamey jeudi dernier, arrivée à Dakoro, a fini par convaincre les complices des ravisseurs de la présence éventuelles d'Occidentaux à Dakoro.
En passant à l’acte, les ravisseurs se sont rendus compte qu’ils s’étaient trompés, et comme le Tchadien a résisté et a créé la panique, il fallait se dégager, en emmenant de force tous ceux qui étaient présents, sauf le gardien.
Actuellement, des renforts de l’armée nigérienne, partis de Tawa et d’Agadez, sont sur les traces des ravisseurs.
Source: RFI
De source officielle, arrivées sur les lieux, six personnes ont été enlevées : quatre Nigériens, un Tchadien blessé et emporté par ses ravisseurs, et un Guinéen, administrateur de l’ONG, et dont le passeport a été retrouvé sur les lieux.
Plusieurs sources concordantes affirment que les ravisseurs ont séjourné pendant plusieurs jours à Dakoro et ont bien observé le terrain.
Un autocollant de l’ONG OCHA, avec un drapeau de l’Union européenne, sur le portail de l’ONG, a attiré l’attention des informateurs des ravisseurs et une mission de travail partie de Niamey jeudi dernier, arrivée à Dakoro, a fini par convaincre les complices des ravisseurs de la présence éventuelles d'Occidentaux à Dakoro.
En passant à l’acte, les ravisseurs se sont rendus compte qu’ils s’étaient trompés, et comme le Tchadien a résisté et a créé la panique, il fallait se dégager, en emmenant de force tous ceux qui étaient présents, sauf le gardien.
Actuellement, des renforts de l’armée nigérienne, partis de Tawa et d’Agadez, sont sur les traces des ravisseurs.
Source: RFI