La localité de Sossoung est en ébullition suite à l'exploitation contestée d'une carrière de basalte sur des terres agricoles, provoquant la colère de la population. La tension est montée d'un cran avec l'arrestation de dix manifestants lors d'un rassemblement. Le collectif local réclame l'arrêt immédiat des activités et menace de passer à l'action.
Les habitants de Sossoung dénoncent fermement les agissements des promoteurs fonciers, accusés de détruire leurs moyens de subsistance. Ndiom Thiam, président du collectif pour la défense des terres de Sossoung, exprime son indignation face à cette situation.
« Les promoteurs fonciers, appuyés par la force, s’autorisent à déterrer le semis de la population. Ils piétinent les cultures, détruisent les espoirs et bafouent sans honte la souveraineté paysanne», a déploré Ndiom Thiam. Il a ajouté avec gravité : « Ce qui se déroule à Sossoung est une atteinte grave aux droits humains, à l’environnement, à la paix sociale, et à la justice foncière ».
Appel à l'arrêt des travaux et à la libération des détenus
Profondément touché par la situation, le défenseur des terres de Sossoung se dit « sidéré et profondément meurtri ». Pour lui, cette exploitation ne correspond pas à la vision d'un développement juste et équitable pour le pays.
« Ce n’est pas ça le développement. Ce n’est pas cela le Sénégal que nous voulons. Nous ne pouvons pas rester silencieux face à tant d’injustice, » a martelé Ndiom Thiam. Le collectif exige catégoriquement « l’arrêt immédiat des travaux de la carrière, la libération des personnes arrêtées et l’ouverture d’un dialogue sincère et inclusif avec les populations concernées ».
"Le Sénégal rural mérite d'être écouté, respecté et protégé"
Poursuivant son intervention, Ndiom Thiam a lancé un appel vibrant aux autorités, soulignant l'importance de mettre fin au mépris envers les populations rurales.
« Le mépris des populations rurales doit cesser. L’exploitation rurale de nos terres doit cesser. L’État doit jouer son rôle de garant de l’équilibre et non celui de complice de l’oppression », a-t-il affirmé. Il a conclu par un cri d'alerte : « Aujourd’hui, nous lançons un cri d’alerte. La blessure est profonde, c’est la paix sociale elle-même qui sera menacée. Le Sénégal rural mérite d’être écouté, respecté et protégé ».
La situation à Sossoung reste tendue, et le collectif attend une réponse rapide des autorités face à leurs revendications. La menace de nouvelles actions plane si leurs demandes ne sont pas entendues.
Les habitants de Sossoung dénoncent fermement les agissements des promoteurs fonciers, accusés de détruire leurs moyens de subsistance. Ndiom Thiam, président du collectif pour la défense des terres de Sossoung, exprime son indignation face à cette situation.
« Les promoteurs fonciers, appuyés par la force, s’autorisent à déterrer le semis de la population. Ils piétinent les cultures, détruisent les espoirs et bafouent sans honte la souveraineté paysanne», a déploré Ndiom Thiam. Il a ajouté avec gravité : « Ce qui se déroule à Sossoung est une atteinte grave aux droits humains, à l’environnement, à la paix sociale, et à la justice foncière ».
Appel à l'arrêt des travaux et à la libération des détenus
Profondément touché par la situation, le défenseur des terres de Sossoung se dit « sidéré et profondément meurtri ». Pour lui, cette exploitation ne correspond pas à la vision d'un développement juste et équitable pour le pays.
« Ce n’est pas ça le développement. Ce n’est pas cela le Sénégal que nous voulons. Nous ne pouvons pas rester silencieux face à tant d’injustice, » a martelé Ndiom Thiam. Le collectif exige catégoriquement « l’arrêt immédiat des travaux de la carrière, la libération des personnes arrêtées et l’ouverture d’un dialogue sincère et inclusif avec les populations concernées ».
"Le Sénégal rural mérite d'être écouté, respecté et protégé"
Poursuivant son intervention, Ndiom Thiam a lancé un appel vibrant aux autorités, soulignant l'importance de mettre fin au mépris envers les populations rurales.
« Le mépris des populations rurales doit cesser. L’exploitation rurale de nos terres doit cesser. L’État doit jouer son rôle de garant de l’équilibre et non celui de complice de l’oppression », a-t-il affirmé. Il a conclu par un cri d'alerte : « Aujourd’hui, nous lançons un cri d’alerte. La blessure est profonde, c’est la paix sociale elle-même qui sera menacée. Le Sénégal rural mérite d’être écouté, respecté et protégé ».
La situation à Sossoung reste tendue, et le collectif attend une réponse rapide des autorités face à leurs revendications. La menace de nouvelles actions plane si leurs demandes ne sont pas entendues.