
Le régime militaire avait annoncé une enquête sur la dispersion des manifestants devant le quartier général de l'armée le 3 juin. Trois semaines plus tard, les conclusions se font toujours attendre.
Le Conseil militaire nie avoir voulu déloger les contestataires et parle d’une opération anti-drogue dans une zone qui jouxte le sit-in. Les militaires ne sont pas non plus d’accord avec le bilan de 128 victimes avancé par l’opposition et annoncent 61 morts.
Le Conseil militaire nie avoir voulu déloger les contestataires et parle d’une opération anti-drogue dans une zone qui jouxte le sit-in. Les militaires ne sont pas non plus d’accord avec le bilan de 128 victimes avancé par l’opposition et annoncent 61 morts.