«Je peux confirmer que le président Béchir (…) ira en Arabie Saoudite», a déclaré le ministre des Affaires étrangères soudanais Ibrahim Ghandour, lors d’une rencontre avec des journalistes à Genève.
«Nous nous réjouissons de la normalisation de nos relations avec les Etats-Unis», a-t-il ajouté.
Interrogé sur une éventuelle poignée de main entre les présidents Trump et Béchir, M. Ghandour a indiqué qu’il n‘était pas possible de prédire les choses à l’avance et souligné qu’“une poignée de mains ne veut rien dire s’il n’y a pas de (bonnes) relations”.
M. Trump, qui doit prononcer un discours sur “une vision pacifique” de l’islam durant la réunion, est attendu samedi à Ryad, première étape de sa première tournée à l‘étranger depuis son entrée en fonction en janvier.
En 2005, le Conseil de sécurité de l’ONU avait demandé à la Cour pénale internationale (CPI) d’enquêter sur les crimes au Darfour, province de l’ouest du Soudan en proie depuis plus de dix ans à un conflit qui a fait des centaines de milliers de morts, selon l’ONU.
Jamais inquiété depuis lors, M. Béchir, au pouvoir depuis 1989, nie fermement les accusations de la CPI.
Malgré le mandat d’arrêt de la cour pour des accusations de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, le dirigeant soudanais se rend fréquemment en Arabie saoudite, d’autant que son pays est l’un des principaux membres d’une coalition militaire arabe sous commandement saoudien impliquée dans la guerre au Yémen.
«Nous nous réjouissons de la normalisation de nos relations avec les Etats-Unis», a-t-il ajouté.
Interrogé sur une éventuelle poignée de main entre les présidents Trump et Béchir, M. Ghandour a indiqué qu’il n‘était pas possible de prédire les choses à l’avance et souligné qu’“une poignée de mains ne veut rien dire s’il n’y a pas de (bonnes) relations”.
M. Trump, qui doit prononcer un discours sur “une vision pacifique” de l’islam durant la réunion, est attendu samedi à Ryad, première étape de sa première tournée à l‘étranger depuis son entrée en fonction en janvier.
En 2005, le Conseil de sécurité de l’ONU avait demandé à la Cour pénale internationale (CPI) d’enquêter sur les crimes au Darfour, province de l’ouest du Soudan en proie depuis plus de dix ans à un conflit qui a fait des centaines de milliers de morts, selon l’ONU.
Jamais inquiété depuis lors, M. Béchir, au pouvoir depuis 1989, nie fermement les accusations de la CPI.
Malgré le mandat d’arrêt de la cour pour des accusations de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, le dirigeant soudanais se rend fréquemment en Arabie saoudite, d’autant que son pays est l’un des principaux membres d’une coalition militaire arabe sous commandement saoudien impliquée dans la guerre au Yémen.
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