Cela fait deux semaines que les combats entre les forces soudanaises et une faction de l'Armée de libération du Soudan, la faction Mina Minawi, ont repris dans les deux régions du Nord et de l'Est du Darfour. Dans cette guerre récurrente,chaque camp accuse l'autre de violer le cessez-le-feu. En janvier dernier, Khartoum avait décrété un cessez-le-feu unilatéral. Un calme relatif s'était installé jusqu'à ce nouveau combat. En cause pour la faction rebelle de Mina Minawi, des pourparlers de paix biaisés, selon eux, avec le pouvoir.
« Mercenaires »
Cette branche de l'Armée de libération du Soudan accuse le gouvernement de vouloir imposer un traité de paix aux rebelles. Un texte « dont les clauses sont rédigées selon les conditions du vainqueur », selon eux. De son côté, l'armée soudanaise pour justifier la reprise des combats, a diffusé des images de rebelles capturés décrits par Khartoum comme des « mercenaires » venus de Libye et du Soudan du Sud.
Contexte explosif
Un contexte explosif alors que deux autres factions rebelles du Darfour Justice et égalité et l'Armée de libération du Soudan d'Abdelwahed Nour sont arrivés à Khartoum et disent vouloir rejoindre les négociations de paix avec le pouvoir. Ces combats ont lieu alors que les Etats-Unis s'apprêtent à lever dans quelques semaines des sanctions économiques imposées sur Khartoum.
« Mercenaires »
Cette branche de l'Armée de libération du Soudan accuse le gouvernement de vouloir imposer un traité de paix aux rebelles. Un texte « dont les clauses sont rédigées selon les conditions du vainqueur », selon eux. De son côté, l'armée soudanaise pour justifier la reprise des combats, a diffusé des images de rebelles capturés décrits par Khartoum comme des « mercenaires » venus de Libye et du Soudan du Sud.
Contexte explosif
Un contexte explosif alors que deux autres factions rebelles du Darfour Justice et égalité et l'Armée de libération du Soudan d'Abdelwahed Nour sont arrivés à Khartoum et disent vouloir rejoindre les négociations de paix avec le pouvoir. Ces combats ont lieu alors que les Etats-Unis s'apprêtent à lever dans quelques semaines des sanctions économiques imposées sur Khartoum.
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