Le SAEMS et le CUSEMS n’en démordent pas. Les enseignants réclament plus que jamais que l’affaire sur la fuite des épreuves anticipées de Philosophie soit clarifiée.
«L’office du bac a déjà anticipé avec le ministre de l’Enseignement supérieur qui a porté plainte pour diffusion de fausses nouvelles. Nous étions convaincus que ce que nous détenions comme preuves ne pouvait pas apparaître comme fausses nouvelles. Nous avions considéré que c’est une façon de vouloir noyer le poisson dans l’eau», s’éructe le Secrétaire général du SAEMS.
Ainsi, la réunion de concertation convoquée par le Directeur de l’office du bac s’est terminée en queue de poisson.
«Le Directeur du bac avait déjà convoqué aujourd’hui une concertation. Il a constaté que les professeurs étaient là non pas pour la concertation mais pour lui dire de vive voix qu’ils souhaitent que cette affaire-là soit clarifiée», scande Saourou Sène.
«L’office du bac a déjà anticipé avec le ministre de l’Enseignement supérieur qui a porté plainte pour diffusion de fausses nouvelles. Nous étions convaincus que ce que nous détenions comme preuves ne pouvait pas apparaître comme fausses nouvelles. Nous avions considéré que c’est une façon de vouloir noyer le poisson dans l’eau», s’éructe le Secrétaire général du SAEMS.
Ainsi, la réunion de concertation convoquée par le Directeur de l’office du bac s’est terminée en queue de poisson.
«Le Directeur du bac avait déjà convoqué aujourd’hui une concertation. Il a constaté que les professeurs étaient là non pas pour la concertation mais pour lui dire de vive voix qu’ils souhaitent que cette affaire-là soit clarifiée», scande Saourou Sène.