Le Sénégal franchit une nouvelle étape dans sa quête de souveraineté alimentaire avec la mobilisation d’un financement de 180 milliards 388 millions 170 mille francs CFA pour la mise en œuvre du Projet d’appui à la souveraineté alimentaire (PASS). Selon le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, Mabouba Diagne, ce programme bénéficiera directement et indirectement à environ 2,6 millions de personnes à travers le pays.
« Grâce à l’effort collectif du gouvernement et de nos partenaires, nous pouvons disposer aujourd’hui d’un financement consolidé d’environ 275 millions d’euros », a indiqué Mabouba Diagne. Cette enveloppe regroupe « 90 millions d’euros du FIDA, 62 millions d’euros du Fonds OPEP et 97 millions d’euros du Fonds italien pour le climat ». Le projet couvre désormais dix (10( régions, avec l’intégration de Matam dans le dispositif, indique Aps.
Le PASS aura un impact direct sur 220 000 ménages agricoles, soit environ 880 000 bénéficiaires directs. Le ministre a souligné que cette initiative « démontre la capacité du Sénégal à mobiliser des ressources d’envergure pour sa souveraineté alimentaire ».
L’objectif est de renforcer la production, la productivité et la résilience climatique de certaines chaînes de valeur, tout en améliorant les revenus des producteurs vulnérables, notamment les femmes et les jeunes. Mabouba Diagne a également précisé qu’avec la contribution attendue de la Banque européenne d’investissement, « les fonds vont dépasser les 300 millions de dollars américains », ce qui permettra d’intégrer les régions de Saint-Louis et Ziguinchor au programme.
« Le PASS ne vient pas s’ajouter aux initiatives existantes. Il constitue l’un des leviers centraux de mise en œuvre de notre feuille de route nationale agricole », a affirmé le ministre.
Pour sa part, Matteo Marchisio, représentant du Fonds international de développement agricole (FIDA) au Sénégal, a déclaré : « Nous soutenons une production résiliente et durable, la souveraineté semencière, la maîtrise de l’eau, ainsi que la création de 12 coopératives agricoles communautaires modernes, en touchant plus de 1 000 jeunes entrepreneurs ». Il a ajouté que « la bataille de la souveraineté alimentaire ne se gagne pas seulement dans les champs, mais dans toute la chaîne de valeurs ».
« Grâce à l’effort collectif du gouvernement et de nos partenaires, nous pouvons disposer aujourd’hui d’un financement consolidé d’environ 275 millions d’euros », a indiqué Mabouba Diagne. Cette enveloppe regroupe « 90 millions d’euros du FIDA, 62 millions d’euros du Fonds OPEP et 97 millions d’euros du Fonds italien pour le climat ». Le projet couvre désormais dix (10( régions, avec l’intégration de Matam dans le dispositif, indique Aps.
Le PASS aura un impact direct sur 220 000 ménages agricoles, soit environ 880 000 bénéficiaires directs. Le ministre a souligné que cette initiative « démontre la capacité du Sénégal à mobiliser des ressources d’envergure pour sa souveraineté alimentaire ».
L’objectif est de renforcer la production, la productivité et la résilience climatique de certaines chaînes de valeur, tout en améliorant les revenus des producteurs vulnérables, notamment les femmes et les jeunes. Mabouba Diagne a également précisé qu’avec la contribution attendue de la Banque européenne d’investissement, « les fonds vont dépasser les 300 millions de dollars américains », ce qui permettra d’intégrer les régions de Saint-Louis et Ziguinchor au programme.
« Le PASS ne vient pas s’ajouter aux initiatives existantes. Il constitue l’un des leviers centraux de mise en œuvre de notre feuille de route nationale agricole », a affirmé le ministre.
Pour sa part, Matteo Marchisio, représentant du Fonds international de développement agricole (FIDA) au Sénégal, a déclaré : « Nous soutenons une production résiliente et durable, la souveraineté semencière, la maîtrise de l’eau, ainsi que la création de 12 coopératives agricoles communautaires modernes, en touchant plus de 1 000 jeunes entrepreneurs ». Il a ajouté que « la bataille de la souveraineté alimentaire ne se gagne pas seulement dans les champs, mais dans toute la chaîne de valeurs ».