La région de Sédhiou (sud) vient de franchir un pas décisif vers l’autosuffisance alimentaire et le développement rural durable. Mardi dernier, la salle du centre SOS Village d’Enfants de Goudomp a servi de cadre à un Comité régional de développement (CRD) décentralisé, consacré à la présentation d’un projet agricole de grande envergure au profit des communes de Kaour et Djibanar, dans le département de Goudomp (sud).
Porté par la coopérative italienne BF, ce projet bénéficie d’un financement colossal de 88 milliards de francs CFA. Selon Tanor Maïssa Dieng, conseiller technique au ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage et membre du comité de pilotage, cette initiative vise deux objectifs majeurs : renforcer la résilience des systèmes agricoles locaux face aux impacts du changement climatique et stimuler durablement l’emploi rural.
À l’horizon 2030, les prévisions sont ambitieuses : le projet devrait générer 16 000 emplois directs et 6 000 emplois indirects, contribuant ainsi à la lutte contre la pauvreté et l’exode rural, fléaux qui minent encore cette zone sud du pays.
Mais au-delà de l’emploi, c’est tout le tissu économique local qui est appelé à se transformer grâce à l’implantation d’infrastructures agricoles modernes : unités de production performantes, centres de transformation, plateformes de stockage et réseaux de commercialisation structurés. Une attention particulière sera portée à l’intégration des techniques d’adaptation aux changements climatiques, garantissant la durabilité des exploitations.
Porté par la coopérative italienne BF, ce projet bénéficie d’un financement colossal de 88 milliards de francs CFA. Selon Tanor Maïssa Dieng, conseiller technique au ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage et membre du comité de pilotage, cette initiative vise deux objectifs majeurs : renforcer la résilience des systèmes agricoles locaux face aux impacts du changement climatique et stimuler durablement l’emploi rural.
À l’horizon 2030, les prévisions sont ambitieuses : le projet devrait générer 16 000 emplois directs et 6 000 emplois indirects, contribuant ainsi à la lutte contre la pauvreté et l’exode rural, fléaux qui minent encore cette zone sud du pays.
Mais au-delà de l’emploi, c’est tout le tissu économique local qui est appelé à se transformer grâce à l’implantation d’infrastructures agricoles modernes : unités de production performantes, centres de transformation, plateformes de stockage et réseaux de commercialisation structurés. Une attention particulière sera portée à l’intégration des techniques d’adaptation aux changements climatiques, garantissant la durabilité des exploitations.