18h 00 : M. Malick Lamotte : l’audience est suspendue jusqu'à demain à 9h.
Me Yerim Thiam : Je voudrais demander à Khalifa Sall quelles sont les offres politiques qui lui ont été faites ?
M. Malick Lamotte : ça c’est une question d’ordre général. J’ai déjà été claire la dessus. On y reviendra.
17H20 : Khalifa Sall à Me Yerim Thiam
Me Yerim Tiham : Depuis 2006 l’éclairage public est à la charge de l’Etat, je voudrais que vous apportiez des éclairages à ce niveau ?
Khalifa Sall : C'est l'’Association des maires du Sénégal (AMS) qui est allé voir le Président Wade pour que cette facture soit prise en charge par l’Etat qui a confirmé. Aucune collectivité locale du Sénégal n’est concernée par ça. Ce dont vous parlez ne nous concerne pas. L’Etat paye lui-même les factures. Sur les principes, l’Etat a pris en charge le principe de paiement de facture de l’éclairage public. C’est Abdoulaye Wade lui-même qui a pris cette décision.
Les avocats de la défense déposent des justificatifs pour l’installation d’équipements solaires dans plus de 60 lieux de culte (mosquées et églises) à Dakar d’une valeur de 220 millions.
Selon eux « la ville de Dakar dirigé par Khalifa Ababacar Sall est maire avait financé d’une valeur de 220 millions FCFA plus de 60 lieux de cultes (mosquées et églises) en équipements solaire dans sa commune.
16h57 : Avocat de l’Etat : Je voudrais demander à Bocoum qu’est ce qu’il peut nous dire a propos de ces dettes croisées ?
Touré : j’avoue d’abord que nous n’intervenons pas à ce niveau. Je ne peux pas donner des informations précises à ce niveau. Comme je le dis je n’ai pas d’information sur ces questions. Je n’ai pas d’information à ce niveau.
16h 30 Bocoum à la barre
Me NDOYE : Vous êtes actuellement comptable des grands projets à la présidence de la république l’ordonnance de renvoi du doyen des juges vous accuse d’association de malfaiteur que dites-vous de cela ?
Bocoum : Je ne me suis jamais entendu avec qui que ce soit pour commettre un crime économique. Toutes les actions que j’ai posées se sont faites dans le respect de la réglementation. Je n’avais pas le droit de refuser ce mandat. Dans le mandat de paiement, il n’est nullement mentionné du riz ou du mil mais «alimentation de la caisse d’avance. Ce que dit l’ordonnance de renvoi n’est pas conforme à la réalité».
15H 35 : Antoine Diome, interroge Khalifa Sall sur sa mission
Khalifa Sall : «Nous sommes un démembrement de l'Etat. Nous sommes, au même titre que l'Etat, au service de la population. Pour la vente du cinéma El Mansour, acheté par Mamadou Diop en 1996 à 50 millions, nous nous sommes plaints devant la Cour suprême, mais l'agent judiciaire se constitue encore contre nous ».
15h 10 : Reprise des audiences. Le Juge Malick Lamotte qui entend faire régner l'ordre a précisé que les accusés seront interrogés sur les question qui n’ont pas été soulevées. Tous les accusés seront rappelés à la barre pour faire des observations sur les déclarations de vendredi dernier : Mme Fatou Traoré, Amadou Mactar Diop, Khalifa Ababacar Sall, Ibrahima Y Diao, disent qu’ils n’ont pas d’observations à faire. Contrairement à Ibrahima Touré, et Mamadou Oumar Bocoum, qui ont eu à faire des observations.
13h : L'audience est suspendue jusqu'à 15 heures
Echange questions-réponses entre Me Khouraichi Ba et Mamadou Oumar Bocoum
12 h 50 - Avocat : En tant que percepteur comment expliquez-vous les montants en réalité, comment expliquez vous cette somme débloquée de 30 millions de francs CFA ?
Mr Bocoum: Les gens font la confusion. On a dit qu'on ne peut pas payer plus de 30 millions pour une alimentation. On a dit aussi que le plafond c’est 30 millions. Tous les mandats sont émis au nom du gérant. Si le gérant effectue des dépenses c’est à lui de payé le fournisseur.
12h 29 : La défense appelle Mamadou Oumar Bocoum
Me Ndoye : Pour ce qui est de l’association de malfaiteurs, il vous est reproché d’avoir mis à la disposition de Mbaye Touré, la somme de 30 000 000 FCFA, est-ce que cela montre que vous vous êtes constituées en association de malfaiteurs ?
Mamadou Oumar Bocoum : Le fait de mettre les fonds à la disposition du gérant, la remise des fonds remis à Mbaye Touré a un fondement réglementaire. Tous les actes posés ici, c’est au regard de la réglementation. Il n’y a pas d’association de malfaiteurs à ce niveau.
Reprise de la séance
Suspension de la séance
10H 58 Mamadou Oumar Bocoum : interpelé sur le GIE Tabbar, perciste et dit que le mandat le plus gros c’est le regroupement des impôts. 2012- 2013 -2014 ce volume d’opération a dépassé trois a 4 régions communes.
11H05 : Ibrahima Touré : répondant sur les factures qu’il avait signées étaient de fausses factures ?
Mr Touré à souligné : «Je ne s’avais pas si c’était des fausses factures.
L’avocat : Pouvez-vous nous dire que vous avez failli à cette mission. Il a répondu par la négatif.
11h 10 Mamadou Oumar Bokoum : je suis agent comptable dans un projet. je ne suis plus agents de la municipalité. Pour moi c’est une caisse d’avance. Si cette caisse devient un fonds politique au moment de l'exécution, moi je me suis limité à justifier les dépenses que j’ai faites.
Khalifa Sall questionné par les avocats de la défense
L’avocat : Pouvez-vous nous dire les entraves que vous avez rencontrées dans le cadre du pavage de la ville de Dakar ?
Khalifa Sall: Le pavage est un projet ambitieux. Tous les projets que nous faisons, dans le cadre des pavages, de voiries ont été arrêtés. Nous avons investi 15 milliards et plus de 1000 jeunes y travaillaient et d’autres étaient en attente.
L’aménagement est du ressort des collectivités locales. Parmi les reproches, vous aviez provoqué Fatou traoré et yaya bodiang ?
C’est impossible et eux même ne l’accepterais pas.
9h 20 : Khalifa Ababacar Sall : le maire de la ville de Dakar est appelé à la barre
"Si j’avais accepté l’offre qui m’avait été faite, je n’allais pas être là. Il s’agit de neutraliser la mairie de Dakar, pour que la ville ne puisse plus mener ses activités.
Si j’ai fait la déclaration de mes patrimoines, c’est pour montrer ce que j’ai. Tous les comptes que j’avais, tous les fonds qui m’appartiennent, tous mes biens, et cela, depuis 30 ans, je l’ai réalisé avant mon accession à la fonction publique.
Je suis prêt à donner une procuration pour faire des investigations sur mes comptes, mes biens, sur ma famille, mes enfants, mes amis. Tous ce que j’ai c’est avant mon arrivée à la mairie".
Me Yerim Thiam : Je voudrais demander à Khalifa Sall quelles sont les offres politiques qui lui ont été faites ?
M. Malick Lamotte : ça c’est une question d’ordre général. J’ai déjà été claire la dessus. On y reviendra.
17H20 : Khalifa Sall à Me Yerim Thiam
Me Yerim Tiham : Depuis 2006 l’éclairage public est à la charge de l’Etat, je voudrais que vous apportiez des éclairages à ce niveau ?
Khalifa Sall : C'est l'’Association des maires du Sénégal (AMS) qui est allé voir le Président Wade pour que cette facture soit prise en charge par l’Etat qui a confirmé. Aucune collectivité locale du Sénégal n’est concernée par ça. Ce dont vous parlez ne nous concerne pas. L’Etat paye lui-même les factures. Sur les principes, l’Etat a pris en charge le principe de paiement de facture de l’éclairage public. C’est Abdoulaye Wade lui-même qui a pris cette décision.
Les avocats de la défense déposent des justificatifs pour l’installation d’équipements solaires dans plus de 60 lieux de culte (mosquées et églises) à Dakar d’une valeur de 220 millions.
Selon eux « la ville de Dakar dirigé par Khalifa Ababacar Sall est maire avait financé d’une valeur de 220 millions FCFA plus de 60 lieux de cultes (mosquées et églises) en équipements solaire dans sa commune.
16h57 : Avocat de l’Etat : Je voudrais demander à Bocoum qu’est ce qu’il peut nous dire a propos de ces dettes croisées ?
Touré : j’avoue d’abord que nous n’intervenons pas à ce niveau. Je ne peux pas donner des informations précises à ce niveau. Comme je le dis je n’ai pas d’information sur ces questions. Je n’ai pas d’information à ce niveau.
16h 30 Bocoum à la barre
Me NDOYE : Vous êtes actuellement comptable des grands projets à la présidence de la république l’ordonnance de renvoi du doyen des juges vous accuse d’association de malfaiteur que dites-vous de cela ?
Bocoum : Je ne me suis jamais entendu avec qui que ce soit pour commettre un crime économique. Toutes les actions que j’ai posées se sont faites dans le respect de la réglementation. Je n’avais pas le droit de refuser ce mandat. Dans le mandat de paiement, il n’est nullement mentionné du riz ou du mil mais «alimentation de la caisse d’avance. Ce que dit l’ordonnance de renvoi n’est pas conforme à la réalité».
15H 35 : Antoine Diome, interroge Khalifa Sall sur sa mission
Khalifa Sall : «Nous sommes un démembrement de l'Etat. Nous sommes, au même titre que l'Etat, au service de la population. Pour la vente du cinéma El Mansour, acheté par Mamadou Diop en 1996 à 50 millions, nous nous sommes plaints devant la Cour suprême, mais l'agent judiciaire se constitue encore contre nous ».
15h 10 : Reprise des audiences. Le Juge Malick Lamotte qui entend faire régner l'ordre a précisé que les accusés seront interrogés sur les question qui n’ont pas été soulevées. Tous les accusés seront rappelés à la barre pour faire des observations sur les déclarations de vendredi dernier : Mme Fatou Traoré, Amadou Mactar Diop, Khalifa Ababacar Sall, Ibrahima Y Diao, disent qu’ils n’ont pas d’observations à faire. Contrairement à Ibrahima Touré, et Mamadou Oumar Bocoum, qui ont eu à faire des observations.
13h : L'audience est suspendue jusqu'à 15 heures
Echange questions-réponses entre Me Khouraichi Ba et Mamadou Oumar Bocoum
12 h 50 - Avocat : En tant que percepteur comment expliquez-vous les montants en réalité, comment expliquez vous cette somme débloquée de 30 millions de francs CFA ?
Mr Bocoum: Les gens font la confusion. On a dit qu'on ne peut pas payer plus de 30 millions pour une alimentation. On a dit aussi que le plafond c’est 30 millions. Tous les mandats sont émis au nom du gérant. Si le gérant effectue des dépenses c’est à lui de payé le fournisseur.
12h 29 : La défense appelle Mamadou Oumar Bocoum
Me Ndoye : Pour ce qui est de l’association de malfaiteurs, il vous est reproché d’avoir mis à la disposition de Mbaye Touré, la somme de 30 000 000 FCFA, est-ce que cela montre que vous vous êtes constituées en association de malfaiteurs ?
Mamadou Oumar Bocoum : Le fait de mettre les fonds à la disposition du gérant, la remise des fonds remis à Mbaye Touré a un fondement réglementaire. Tous les actes posés ici, c’est au regard de la réglementation. Il n’y a pas d’association de malfaiteurs à ce niveau.
Reprise de la séance
Suspension de la séance
10H 58 Mamadou Oumar Bocoum : interpelé sur le GIE Tabbar, perciste et dit que le mandat le plus gros c’est le regroupement des impôts. 2012- 2013 -2014 ce volume d’opération a dépassé trois a 4 régions communes.
11H05 : Ibrahima Touré : répondant sur les factures qu’il avait signées étaient de fausses factures ?
Mr Touré à souligné : «Je ne s’avais pas si c’était des fausses factures.
L’avocat : Pouvez-vous nous dire que vous avez failli à cette mission. Il a répondu par la négatif.
11h 10 Mamadou Oumar Bokoum : je suis agent comptable dans un projet. je ne suis plus agents de la municipalité. Pour moi c’est une caisse d’avance. Si cette caisse devient un fonds politique au moment de l'exécution, moi je me suis limité à justifier les dépenses que j’ai faites.
Khalifa Sall questionné par les avocats de la défense
L’avocat : Pouvez-vous nous dire les entraves que vous avez rencontrées dans le cadre du pavage de la ville de Dakar ?
Khalifa Sall: Le pavage est un projet ambitieux. Tous les projets que nous faisons, dans le cadre des pavages, de voiries ont été arrêtés. Nous avons investi 15 milliards et plus de 1000 jeunes y travaillaient et d’autres étaient en attente.
L’aménagement est du ressort des collectivités locales. Parmi les reproches, vous aviez provoqué Fatou traoré et yaya bodiang ?
C’est impossible et eux même ne l’accepterais pas.
9h 20 : Khalifa Ababacar Sall : le maire de la ville de Dakar est appelé à la barre
"Si j’avais accepté l’offre qui m’avait été faite, je n’allais pas être là. Il s’agit de neutraliser la mairie de Dakar, pour que la ville ne puisse plus mener ses activités.
Si j’ai fait la déclaration de mes patrimoines, c’est pour montrer ce que j’ai. Tous les comptes que j’avais, tous les fonds qui m’appartiennent, tous mes biens, et cela, depuis 30 ans, je l’ai réalisé avant mon accession à la fonction publique.
Je suis prêt à donner une procuration pour faire des investigations sur mes comptes, mes biens, sur ma famille, mes enfants, mes amis. Tous ce que j’ai c’est avant mon arrivée à la mairie".