Un projet novateur de formation destiné aux bajenu gox (marraines de quartier) et aux femmes leaders a été lancé ce jeudi à Tambacounda, dans le but de renforcer leur rôle dans la prévention précoce de l’extrémisme violent.
Pilotée par l’ONG Partners West Africa Sénégal (PWA-S), avec l’appui financier de l’ambassade des États-Unis à Dakar, cette initiative intervient dans les zones frontalières entre le Sénégal et le Mali, particulièrement exposées aux tensions sécuritaires.
« Nous avons ciblé les bajenu gox et les femmes leaders pour faire ressortir leur rôle dans la prévention de l’extrémisme violent », a expliqué Asta Sao Ly, coordinatrice du projet, en marge de la cérémonie de lancement. Le programme repose sur des sessions de dialogue et de formation visant à accroître la conscience communautaire des femmes sur leur capacité à prévenir les violences et à désamorcer les crises, rapporte l'Agence de presse sénégalaise (APS).
Ces formations ambitionnent de doter les bénéficiaires d’outils pratiques, de compétences en leadership, ainsi que de capacités communicationnelles pour faire face à toute situation de tension ou de menace dans leur environnement.
« Cette formation permettra aux bénéficiaires de mieux collaborer avec les forces de défense et de sécurité, une coopération essentielle pour prévenir efficacement l’extrémisme violent », a insisté la coordinatrice. Au-delà de la sensibilisation, le projet entend favoriser une participation communautaire accrue à la gestion des conflits et à la consolidation de la paix au niveau local.
À terme, il est attendu que ces femmes soient en mesure d’identifier les signaux précoces de radicalisation, de mobiliser les ressources communautaires et de jouer un rôle clé dans les mécanismes de résilience sociale, en particulier dans des zones fragiles comme la frontière sénégalo-malienne.
Pilotée par l’ONG Partners West Africa Sénégal (PWA-S), avec l’appui financier de l’ambassade des États-Unis à Dakar, cette initiative intervient dans les zones frontalières entre le Sénégal et le Mali, particulièrement exposées aux tensions sécuritaires.
« Nous avons ciblé les bajenu gox et les femmes leaders pour faire ressortir leur rôle dans la prévention de l’extrémisme violent », a expliqué Asta Sao Ly, coordinatrice du projet, en marge de la cérémonie de lancement. Le programme repose sur des sessions de dialogue et de formation visant à accroître la conscience communautaire des femmes sur leur capacité à prévenir les violences et à désamorcer les crises, rapporte l'Agence de presse sénégalaise (APS).
Ces formations ambitionnent de doter les bénéficiaires d’outils pratiques, de compétences en leadership, ainsi que de capacités communicationnelles pour faire face à toute situation de tension ou de menace dans leur environnement.
« Cette formation permettra aux bénéficiaires de mieux collaborer avec les forces de défense et de sécurité, une coopération essentielle pour prévenir efficacement l’extrémisme violent », a insisté la coordinatrice. Au-delà de la sensibilisation, le projet entend favoriser une participation communautaire accrue à la gestion des conflits et à la consolidation de la paix au niveau local.
À terme, il est attendu que ces femmes soient en mesure d’identifier les signaux précoces de radicalisation, de mobiliser les ressources communautaires et de jouer un rôle clé dans les mécanismes de résilience sociale, en particulier dans des zones fragiles comme la frontière sénégalo-malienne.