La tension monte à Tanaff. À quelques heures de la visite du Chef de l’État, deux responsables locaux du parti Pastef ont été interpellés par la gendarmerie pour « tentative de sabotage ». Une accusation balayée d’un revers de main par le bureau communal qui dénonce « des manœuvres visant à ternir leur image. »
Les responsables ont affirmé avoir reçu des directives claires de leur hiérarchie consistant à réserver un accueil digne et républicain au Chef de l’État Bassirou Diomaye Faye, à agir dans le calme et le respect des institutions et à ne pas céder aux provocations extérieures. « Ces allégations mensongères ne visent qu'à ternir l'image de notre parti et à semer la confusion », a déclaré le bureau communal.
Face à la situation, le bureau de Pastef-Tanaff a tenu à prendre les devants, en dégageant toute responsabilité pour d'éventuelles perturbations. Le parti suggère que toute agitation serait le fruit de « manœuvres de diversion étrangères à leurs rangs. » Le parti appelle ses militants à la retenue tout en restant mobilisés pour « défendre les intérêts de la communauté dans la paix et la dignité ».
Cependant, les deux responsables sont toujours, entre les mains de la gendarmerie, informe Libération.
Les responsables ont affirmé avoir reçu des directives claires de leur hiérarchie consistant à réserver un accueil digne et républicain au Chef de l’État Bassirou Diomaye Faye, à agir dans le calme et le respect des institutions et à ne pas céder aux provocations extérieures. « Ces allégations mensongères ne visent qu'à ternir l'image de notre parti et à semer la confusion », a déclaré le bureau communal.
Face à la situation, le bureau de Pastef-Tanaff a tenu à prendre les devants, en dégageant toute responsabilité pour d'éventuelles perturbations. Le parti suggère que toute agitation serait le fruit de « manœuvres de diversion étrangères à leurs rangs. » Le parti appelle ses militants à la retenue tout en restant mobilisés pour « défendre les intérêts de la communauté dans la paix et la dignité ».
Cependant, les deux responsables sont toujours, entre les mains de la gendarmerie, informe Libération.