Le Secrétaire général du parti socialiste a recommandé aux jeunes d’intensifier la mobilisation pour éviter le mal qui guette le Sénégal.
«Je vous engage tous à vous mobiliser davantage et à faire la jonction avec les jeunesses de toutes les forces politiques regroupées au sein de l’alliance Bennoo Siggil Senegaal et au-delà de celles-ci, (…) pour faire front contre les forces du mal qui guettent notre pays», a exhorté Ousmane Tanor Dieng dans un message envoyé aux Jeunesses socialistes qui étaient ceweek-end à Fatick.
Il estime que sous ce rapport, «les perspectives 2012 sont capitales», d’abord pour bien intégrer les stratégies mises en œuvre par notre alliance pour ensuite s’en faire. «Si le Sénégal devait sombrer et périr, nous serions certes tous perdants mais c’est d’abord et avant tout vous les jeunes qui en pâtiraient le plus», a-t-il argumenté en insistant sur le rôle des socialistes. «Les jeunes socialistes ont toujours été engagés, sans faille, à la pointe de tous nos combats pour la défense et le triomphe des idéaux socialistes», a fait comprendre Tanor qui annonce des lendemains plus tristes.
«Les temps à venir seront forcément des temps de larmes et de sueur et appelleront de nous tous des efforts et des sacrifices sans précédents pour s’opposer à cette dictature rampante qui risque de saper notre Démocratie et notre République et menace les fondements même de l’existence de notre Nation», prévient l’ancien ministre d’Etat chargé des Affaires et Services présidentiels.
Selon lui, c’est dans ces temps difficiles en perspective, que la jeunesse sera forcément le fer de lance des forces vives de la Nation qui devront s’unir pour barrer la route aux ambitions funestes du pouvoir kleptocrate et liberticide qui nous gouverne.
A en croire Ousmane Tanor Dieng, ce pouvoir «personnel débridé» est devenu si «enivrant» d’ailleurs que non content d’avoir fait de notre pays une république bananière, il veut maintenant en faire un royaume héréditaire à la tête duquel il veut se substituer son fils qui ne s’est pourtant jusqu’ici signalé que par sa propension à «étaler son incompétence» à la face du monde et par son inclination à se retrouver au centre de toutes «les magouilles économico financières» du système Wade.
«Je vous engage tous à vous mobiliser davantage et à faire la jonction avec les jeunesses de toutes les forces politiques regroupées au sein de l’alliance Bennoo Siggil Senegaal et au-delà de celles-ci, (…) pour faire front contre les forces du mal qui guettent notre pays», a exhorté Ousmane Tanor Dieng dans un message envoyé aux Jeunesses socialistes qui étaient ceweek-end à Fatick.
Il estime que sous ce rapport, «les perspectives 2012 sont capitales», d’abord pour bien intégrer les stratégies mises en œuvre par notre alliance pour ensuite s’en faire. «Si le Sénégal devait sombrer et périr, nous serions certes tous perdants mais c’est d’abord et avant tout vous les jeunes qui en pâtiraient le plus», a-t-il argumenté en insistant sur le rôle des socialistes. «Les jeunes socialistes ont toujours été engagés, sans faille, à la pointe de tous nos combats pour la défense et le triomphe des idéaux socialistes», a fait comprendre Tanor qui annonce des lendemains plus tristes.
«Les temps à venir seront forcément des temps de larmes et de sueur et appelleront de nous tous des efforts et des sacrifices sans précédents pour s’opposer à cette dictature rampante qui risque de saper notre Démocratie et notre République et menace les fondements même de l’existence de notre Nation», prévient l’ancien ministre d’Etat chargé des Affaires et Services présidentiels.
Selon lui, c’est dans ces temps difficiles en perspective, que la jeunesse sera forcément le fer de lance des forces vives de la Nation qui devront s’unir pour barrer la route aux ambitions funestes du pouvoir kleptocrate et liberticide qui nous gouverne.
A en croire Ousmane Tanor Dieng, ce pouvoir «personnel débridé» est devenu si «enivrant» d’ailleurs que non content d’avoir fait de notre pays une république bananière, il veut maintenant en faire un royaume héréditaire à la tête duquel il veut se substituer son fils qui ne s’est pourtant jusqu’ici signalé que par sa propension à «étaler son incompétence» à la face du monde et par son inclination à se retrouver au centre de toutes «les magouilles économico financières» du système Wade.