Au-delà des agressions physiques, des violences sexuelles et de la stigmatisation dont souffrent les handicapés au Sénégal, une étude très récente a montré que le taux de prévalence du VIH chez ces personnes est largement au-dessus de la moyenne nationale. Le président de la Fédération nationale des personnes handicapées du Sénégal déplore la situation et pointe « l’échec des politiques publiques ».
« Le VIH chez les personnes vivant avec un handicap est une situation alarmante dans la mesure où une étude très récente qui vient d’être publiée a montré que le taux de prévalence est largement au-dessus de la moyenne nationale. La moyenne nationale, c’est à 0,7 % et chez les personnes handicapées, c’est pratiquement 2 %. Donc, ça double la moyenne nationale. C’est alarmant et inquiétant », alerte Yatma Fall sur Sud fm.
Et, selon lui, « s’il en est ainsi, c’est que jusque-là dans les stratégies qui ont été développées pour prendre en charge la question du VIH, on n’a pas suffisamment pris en compte le handicap et le groupe des personnes handicapées qui sont souvent victimes d’agressions sexuelles, de violences, de viols adossés à des croyances, etc. ».
« Donc, il est important que dans le cadre de ce projet de Handicap international que nous puissions amenés les autorités sanitaires, les autorités en charge de la lutte contre le VIH Sida au Sénégal à prendre davantage en compte les personnes handicapées dans les stratégies de réponse », prône-t-il.
« Le VIH chez les personnes vivant avec un handicap est une situation alarmante dans la mesure où une étude très récente qui vient d’être publiée a montré que le taux de prévalence est largement au-dessus de la moyenne nationale. La moyenne nationale, c’est à 0,7 % et chez les personnes handicapées, c’est pratiquement 2 %. Donc, ça double la moyenne nationale. C’est alarmant et inquiétant », alerte Yatma Fall sur Sud fm.
Et, selon lui, « s’il en est ainsi, c’est que jusque-là dans les stratégies qui ont été développées pour prendre en charge la question du VIH, on n’a pas suffisamment pris en compte le handicap et le groupe des personnes handicapées qui sont souvent victimes d’agressions sexuelles, de violences, de viols adossés à des croyances, etc. ».
« Donc, il est important que dans le cadre de ce projet de Handicap international que nous puissions amenés les autorités sanitaires, les autorités en charge de la lutte contre le VIH Sida au Sénégal à prendre davantage en compte les personnes handicapées dans les stratégies de réponse », prône-t-il.