Ces derniers jours, Saleh Kebzabo a ainsi rencontré des membres de la diaspora tchadienne au Burkina Faso et au Mali. Qu’est-il ressorti de ces échanges ? Joint par RFI par Pierre Firtion du service Afrique, il nous donne la réponse.
« Ils ont exprimé toutes leurs inquiétudes et leurs attentes par rapport aux événements récents et passés, douloureux ou pas. Ils espèrent que le dialogue va vraiment trouver des solutions appropriées pour que, pour une fois, le Tchad sorte de cette situation.
Donc tous les problèmes de gouvernance, les problèmes économiques, financiers, les problèmes de société, les problèmes d’élections… Toutes les problématiques ont été vraiment abordées par les Tchadiens que nous avons rencontrés à Bamako, à Ouagadougou et certainement à Niamey aussi.
Toutes les recommandations vont être compilées au niveau du Comité préparatoire, à Ndjamena. Une synthèse générale va être faite et tout cela fera l’objet d’un rapport global qui sera déposé sur le bureau du présidium et qui sera mis en place pour diriger le dialogue lui-même, en décembre, et qui devrait durer un mois ».
« Ils ont exprimé toutes leurs inquiétudes et leurs attentes par rapport aux événements récents et passés, douloureux ou pas. Ils espèrent que le dialogue va vraiment trouver des solutions appropriées pour que, pour une fois, le Tchad sorte de cette situation.
Donc tous les problèmes de gouvernance, les problèmes économiques, financiers, les problèmes de société, les problèmes d’élections… Toutes les problématiques ont été vraiment abordées par les Tchadiens que nous avons rencontrés à Bamako, à Ouagadougou et certainement à Niamey aussi.
Toutes les recommandations vont être compilées au niveau du Comité préparatoire, à Ndjamena. Une synthèse générale va être faite et tout cela fera l’objet d’un rapport global qui sera déposé sur le bureau du présidium et qui sera mis en place pour diriger le dialogue lui-même, en décembre, et qui devrait durer un mois ».