L'état-major français confirme avoir mené des frappes dans le nord-est du Tchad contre l'incursion d'une colonne armée entre le 3 et le 6 février. Des interventions menées « en réponse à la demande des autorités tchadiennes ».
« Partie de Libye, la colonne armée, forte initialement d’une cinquantaine de pickups, n’a pas répondu aux avertissements dissuasifs et aux frappes des forces aériennes tchadiennes les 1er et 2 février puis des forces aériennes françaises le 3 février. Face à cette situation, les autorités tchadiennes et françaises ont décidé de nouvelles frappes, conduites par des Mirage 2000 les 5 et 6 février », indique le communiqué de l'état-major français, qui précise : « L’action des Mirage 2000, engagés depuis la base de Ndjamena, appuyés par un drone Reaper, a permis au total de mettre hors de combat une vingtaine de pickups ».
Objectif affiché de ces bombardements donc : contrer l'incursion d'une colonne armée en territoire tchadien. Le raid de cette colonne étant, selon les autorités françaises, de nature à déstabiliser le pays
« Partie de Libye, la colonne armée, forte initialement d’une cinquantaine de pickups, n’a pas répondu aux avertissements dissuasifs et aux frappes des forces aériennes tchadiennes les 1er et 2 février puis des forces aériennes françaises le 3 février. Face à cette situation, les autorités tchadiennes et françaises ont décidé de nouvelles frappes, conduites par des Mirage 2000 les 5 et 6 février », indique le communiqué de l'état-major français, qui précise : « L’action des Mirage 2000, engagés depuis la base de Ndjamena, appuyés par un drone Reaper, a permis au total de mettre hors de combat une vingtaine de pickups ».
Objectif affiché de ces bombardements donc : contrer l'incursion d'une colonne armée en territoire tchadien. Le raid de cette colonne étant, selon les autorités françaises, de nature à déstabiliser le pays