Chochete Yaya Dillo a été investi par un regroupement non reconnu par le ministère de l’Administration du territoire et son acte de naissance n’est pas conforme. Il ne sera donc pas dans la course le 11 avril prochain, indique la Cour suprême.
Masra Succès, lui, n’a pas 40 ans et son acte de naissance n’est pas conforme non plus, affirment les juges. Cinq autres candidats sont disqualifiés pour des défauts sur leurs documents, et certains se sont simplement désisté, comme Mahamat Yosko.
C’est aussi le cas de Ngarlejy Yorongar, qui a écrit mercredi soir sur sa page Facebook que son parti avait décidé de retirer sa candidature. Même démarche du côté des 13 partis de l’Alliance Victoire, la coalition de l’opposition qui avait choisi Me Théophile Bongoro comme candidat. Lui aussi se retire.
Même si la Cour suprême a validé sa candidature alors qu’il avait annoncé son désistement, Saleh Kebzabo persiste et signe : il ne participera pas à la présidentielle du 11 avril prochain. L'opposant était en colère mercredi soir. Il rappelle que la publication de la liste des candidats retenus était prévue pour le 9 mars. Avec cette publication le 3 mars, il a été pris de court. D'autant que le secrétariat de la Cour suprême, à qui son planton a porté sa lettre de désistement ce mercredi, a refusé de l’enregistrer.
Idriss Déby n'a plus, à ce stade, que 6 challengers au lieu de 9, parmi lesquels le chef de file de l’opposition, Romadoungar Nialbé Félix, le fédéraliste Brice Mbaimon, l’ancien Premier ministre Pahimi Padacket Albert et la première femme candidate à une élection présidentielle, l’ancienne ministre, Lydie Beassemda. Les autres candidats retenus sont l’ingénieur Yombombé Théophile et l’entrepreneur Alladoum Baltazar, pour lesquels ce sera une première expérience électorale.
Masra Succès, lui, n’a pas 40 ans et son acte de naissance n’est pas conforme non plus, affirment les juges. Cinq autres candidats sont disqualifiés pour des défauts sur leurs documents, et certains se sont simplement désisté, comme Mahamat Yosko.
C’est aussi le cas de Ngarlejy Yorongar, qui a écrit mercredi soir sur sa page Facebook que son parti avait décidé de retirer sa candidature. Même démarche du côté des 13 partis de l’Alliance Victoire, la coalition de l’opposition qui avait choisi Me Théophile Bongoro comme candidat. Lui aussi se retire.
Même si la Cour suprême a validé sa candidature alors qu’il avait annoncé son désistement, Saleh Kebzabo persiste et signe : il ne participera pas à la présidentielle du 11 avril prochain. L'opposant était en colère mercredi soir. Il rappelle que la publication de la liste des candidats retenus était prévue pour le 9 mars. Avec cette publication le 3 mars, il a été pris de court. D'autant que le secrétariat de la Cour suprême, à qui son planton a porté sa lettre de désistement ce mercredi, a refusé de l’enregistrer.
Idriss Déby n'a plus, à ce stade, que 6 challengers au lieu de 9, parmi lesquels le chef de file de l’opposition, Romadoungar Nialbé Félix, le fédéraliste Brice Mbaimon, l’ancien Premier ministre Pahimi Padacket Albert et la première femme candidate à une élection présidentielle, l’ancienne ministre, Lydie Beassemda. Les autres candidats retenus sont l’ingénieur Yombombé Théophile et l’entrepreneur Alladoum Baltazar, pour lesquels ce sera une première expérience électorale.