
C’est un drame qui a bouleversé le lycée de Thiadiaye. Un élève de Terminale s’est infligé dix coups de couteau en apprenant qu’il ne pourrait pas passer le baccalauréat 2025, en raison d’un problème d’état civil. Le proviseur, Saliou Ndiaye, a rapidement pointé « la négligence » des parents, soulignant que des rappels sont faits dès la classe de Seconde pour régulariser les documents administratifs.
Mais le père de l’élève, Seck Faye, dément catégoriquement. Selon lui, ni lui ni son fils n’avaient été informés d’un quelconque blocage avant janvier 2025. « C’est à ce moment que j’ai été convoqué au lycée. Ils ont parlé d’irrégularités alors que le document en question avait été délivré par le tribunal de Mbour en 2019 et lui avait permis de passer le BFEM », explique-t-il à L’Observateur.
C’est lui-même qui a annoncé la mauvaise nouvelle à son fils, au lycée, devant les enseignants. Le choc a été brutal. Le jeune homme, qui ignorait tout du problème, a sombré. Son père, malgré la situation, affirme lui avoir demandé de garder courage et de se préparer pour l’année 2026.
Aujourd’hui, le lycéen est hors de danger et a quitté l’hôpital.
Mais le père de l’élève, Seck Faye, dément catégoriquement. Selon lui, ni lui ni son fils n’avaient été informés d’un quelconque blocage avant janvier 2025. « C’est à ce moment que j’ai été convoqué au lycée. Ils ont parlé d’irrégularités alors que le document en question avait été délivré par le tribunal de Mbour en 2019 et lui avait permis de passer le BFEM », explique-t-il à L’Observateur.
C’est lui-même qui a annoncé la mauvaise nouvelle à son fils, au lycée, devant les enseignants. Le choc a été brutal. Le jeune homme, qui ignorait tout du problème, a sombré. Son père, malgré la situation, affirme lui avoir demandé de garder courage et de se préparer pour l’année 2026.
Aujourd’hui, le lycéen est hors de danger et a quitté l’hôpital.