Entre conseillers ruraux, le torchon a commencé à brûler à cause d’une somme de 4 milliards de francs Cfa qui ne sont même pas encore versés dans les caisses de la communauté rurale. En effet, des sources concordantes ont fait état de marchés déjà cédés pour le ramassage et le traitement des ordures au gré d’un projet supporté par l’Etat du Sénégal en partenariat avec la BID. D’ailleurs une série de réunions s’est déjà tenue à Dakar pour la finalisation du contrat qui porte sur la rondelette somme de 17 milliards. Touba fait partie des zones ciblées avec Dakar, Tivavouane et Kaolack.
Cet argent, si échéant, devrait permettre à la cité religieuse de se départir des ordures qui l’étouffent. Seulement des conseillers accusent les patrons de la communauté rurale d’avoir déjà cédé les marchés sans appels d’offres. Une situation fort malheureuse selon eux car piétinant les réglementations dans ce sens. Interpellé, Mor Lô , conseiller municipal et bras droit du Président Abdou Lahad Kâ dément et assure que le processus devant aboutir à l’obtention de ces 4 milliards n’est pas encore épuisé. «voilà de fausses accusations qui ne tiennent sur rien de solide. Le processus n’est pas encore terminé. Je suis bien placé pour le dire pour avoir participé aux rencontres faites avec la BID. Les appels d’offres ne sont pas lancés et c’est cela qui est vrai». Autant dire que le bruit a fini de prendre ses droits dans l’enceinte de l’institution rurale.
Cet argent, si échéant, devrait permettre à la cité religieuse de se départir des ordures qui l’étouffent. Seulement des conseillers accusent les patrons de la communauté rurale d’avoir déjà cédé les marchés sans appels d’offres. Une situation fort malheureuse selon eux car piétinant les réglementations dans ce sens. Interpellé, Mor Lô , conseiller municipal et bras droit du Président Abdou Lahad Kâ dément et assure que le processus devant aboutir à l’obtention de ces 4 milliards n’est pas encore épuisé. «voilà de fausses accusations qui ne tiennent sur rien de solide. Le processus n’est pas encore terminé. Je suis bien placé pour le dire pour avoir participé aux rencontres faites avec la BID. Les appels d’offres ne sont pas lancés et c’est cela qui est vrai». Autant dire que le bruit a fini de prendre ses droits dans l’enceinte de l’institution rurale.