À quelques jours du grand Magal de Touba, les boutiquiers et détaillants tirent la sonnette d’alarme face à la flambée des prix de certaines denrées de première nécessité. Mor Niang, président de l’Association des boutiquiers détaillants de Touba, appelle les autorités à renforcer le contrôle des prix sur les marchés.
« La situation devient difficile. Les prix grimpent et nous n’arrivons plus à suivre. Le sac d’oignons, vendu à 6500 F CFA il y a peu, coûte désormais 10 000 F CFA. Celui de pommes de terre est passé à 9500 F CFA », a-t-il déploré sur les ondes de la RFM.
Selon lui, malgré l’annonce du ministre du Commerce concernant la mobilisation de 100 volontaires pour contrôler les prix, les hausses continuent sans encadrement réel. « Les grossistes fixent les prix à leur guise et nous, détaillants, sommes obligés de nous aligner sous peine de vendre à perte », a-t-il regretté.
Mor Niang déplore également que la récente visite ministérielle dans les marchés se soit déroulée sans la participation de son association, pourtant « maillon essentiel du commerce ».
Il insiste sur un contrôle rigoureux, estimant que, sans cela, « ce sont toujours le consommateur et le détaillant qui en paieront le prix fort ».
« La situation devient difficile. Les prix grimpent et nous n’arrivons plus à suivre. Le sac d’oignons, vendu à 6500 F CFA il y a peu, coûte désormais 10 000 F CFA. Celui de pommes de terre est passé à 9500 F CFA », a-t-il déploré sur les ondes de la RFM.
Selon lui, malgré l’annonce du ministre du Commerce concernant la mobilisation de 100 volontaires pour contrôler les prix, les hausses continuent sans encadrement réel. « Les grossistes fixent les prix à leur guise et nous, détaillants, sommes obligés de nous aligner sous peine de vendre à perte », a-t-il regretté.
Mor Niang déplore également que la récente visite ministérielle dans les marchés se soit déroulée sans la participation de son association, pourtant « maillon essentiel du commerce ».
Il insiste sur un contrôle rigoureux, estimant que, sans cela, « ce sont toujours le consommateur et le détaillant qui en paieront le prix fort ».