En déplacement dans la capitale du Sud, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a franchi une étape décisive dans sa stratégie de stabilisation régionale. Le Chef de l’État a réuni les piliers de la médiation sociale en Casamance. Entre bilan du « Plan Diomaye » et nouvel élan de coordination, cette rencontre marque un tournant vers une paix définitive.
Selon les services de la Présidence, le Pr Diomaye a reçu les acteurs majeurs du processus de paix dont le Groupe de réflexion et d’action pour la paix (GRAP), la Plateforme des femmes pour la paix et le Collectif des organisations de la société civile. Cette rencontre, loin des protocoles rigides, a permis un échange de fond sur les réalités du terrain et les obstacles qui subsistent encore vers une sortie de crise totale.
Au cours des échanges, les différentes structures ont présenté leurs analyses basées sur des années de médiation communautaire. Un point de convergence a dominé les débats. Il s’agit de l’efficacité du Plan Diomaye pour la Casamance.
Ce cadre stratégique, lancé au début du mandat, est désormais perçu par la société civile comme le véritable moteur de la stabilisation. Les participants ont salué, la méthode inclusive qui privilégie le développement économique local, les progrès tangibles dans la sécurisation des zones autrefois isolées et la cohérence entre les investissements publics et les besoins urgents des populations.
Réagissant aux exposés avec une humilité remarquée, « le Chef de l'État a réaffirmé que la paix ne se décrète pas, mais se construit par le dialogue ». Cependant, le Président Faye a également pointé une nécessité de réforme dans l'action, c’est « la fin du travail en silos ».
« Ce chantier exige une démarche concertée. J'invite l'ensemble des acteurs à fédérer leurs initiatives et à mutualiser leurs efforts », a -t-il déclaré, insistant sur le fait qu'une meilleure coordination est la clé pour accroître l'impact des actions de paix sur le quotidien des Casamançais.
Selon la Présidence sur sa page Facebook, « cette audience à Ziguinchor n'est pas qu'un acte symbolique. Elle traduit une volonté de l'État de ne plus être le seul décideur, mais l'accompagnateur des dynamiques locales. En prônant le respect des initiatives de la société civile, Bassirou Diomaye Faye consolide une responsabilité partagée ».
L'objectif est clair, transformer la Casamance en un pôle de développement harmonieux où la cohésion sociale ne sera plus un espoir, mais une réalité irréversible.
Selon les services de la Présidence, le Pr Diomaye a reçu les acteurs majeurs du processus de paix dont le Groupe de réflexion et d’action pour la paix (GRAP), la Plateforme des femmes pour la paix et le Collectif des organisations de la société civile. Cette rencontre, loin des protocoles rigides, a permis un échange de fond sur les réalités du terrain et les obstacles qui subsistent encore vers une sortie de crise totale.
Au cours des échanges, les différentes structures ont présenté leurs analyses basées sur des années de médiation communautaire. Un point de convergence a dominé les débats. Il s’agit de l’efficacité du Plan Diomaye pour la Casamance.
Ce cadre stratégique, lancé au début du mandat, est désormais perçu par la société civile comme le véritable moteur de la stabilisation. Les participants ont salué, la méthode inclusive qui privilégie le développement économique local, les progrès tangibles dans la sécurisation des zones autrefois isolées et la cohérence entre les investissements publics et les besoins urgents des populations.
Réagissant aux exposés avec une humilité remarquée, « le Chef de l'État a réaffirmé que la paix ne se décrète pas, mais se construit par le dialogue ». Cependant, le Président Faye a également pointé une nécessité de réforme dans l'action, c’est « la fin du travail en silos ».
« Ce chantier exige une démarche concertée. J'invite l'ensemble des acteurs à fédérer leurs initiatives et à mutualiser leurs efforts », a -t-il déclaré, insistant sur le fait qu'une meilleure coordination est la clé pour accroître l'impact des actions de paix sur le quotidien des Casamançais.
Selon la Présidence sur sa page Facebook, « cette audience à Ziguinchor n'est pas qu'un acte symbolique. Elle traduit une volonté de l'État de ne plus être le seul décideur, mais l'accompagnateur des dynamiques locales. En prônant le respect des initiatives de la société civile, Bassirou Diomaye Faye consolide une responsabilité partagée ».
L'objectif est clair, transformer la Casamance en un pôle de développement harmonieux où la cohésion sociale ne sera plus un espoir, mais une réalité irréversible.