Hier le projet Edh engagé dans la promotion et la défense des droits humains par le biais de l’éducation a manifesté son indignation, suite a ce drame qui a frappé l’Emia (Ecole Militaire Inter- Armée) de Koulikoro. Ainsi la mort de la jeune sénégalaise et de ses quatre compagnons maliens n’était pas un accident comme on l’avait dit.
D’après le journal « le Quotidien » cette structure qui a prit acte de la décision du gouvernement malien, lance un appel au sens des responsabilités des leaders politiques et des chefs militaires africains pour que l’éducation aux droits humains soit inscrite de manière durable dans les programmes de formation destinés aux militaires et aux forces de sécurité dans tous les pays du continent.
Le projet constate au delà du drame de Koulikoro : « la fréquence inquiétante de ces cas de torture, de traitements inhumains ou dégradants perpétrés par les militaires ou les forces de sécurité, y compris dans certains cas contre des civils non armés
D’après le journal « le Quotidien » cette structure qui a prit acte de la décision du gouvernement malien, lance un appel au sens des responsabilités des leaders politiques et des chefs militaires africains pour que l’éducation aux droits humains soit inscrite de manière durable dans les programmes de formation destinés aux militaires et aux forces de sécurité dans tous les pays du continent.
Le projet constate au delà du drame de Koulikoro : « la fréquence inquiétante de ces cas de torture, de traitements inhumains ou dégradants perpétrés par les militaires ou les forces de sécurité, y compris dans certains cas contre des civils non armés