Hier, les gendarmes de la section de gendarmerie ont reçu hier Aminata Gassama, la femme de Abdoulaye Baldé. Arrivé à 09 heures, l’interrogatoire a démarré quelques minutes plus tard. Madame Baldé n’a pas manqué de répondre à toutes les questions et éclaircissements demandés par les hommes en bleu de la Section de Recherches. Une séance d’explication d’abord avec les gendarmes sur une maison qu’elle a acquise en copropriété en 1995 et une autre question relative à un prêt accordé à un de ces proches amis.
Pour les autres éclaircissements sur la situation de prêt contracté à la CNCA, un de ces biens immeubles, Madame Baldé très posée, les a orienté pour plus d’informations auprès de sont avocat, Me Baboucar Cissé et de son notaire Me Moustapha Ndiaye. Très sure d’elle, elle promet aux pandores d’aller chercher même une copie qu’elle va leur envoyer sous pli fermé.
Au terme de l’interrogatoire, Aminata Gassama prend son courage à deux main pour demander aux gendarmes les raisons de cet acharnement et toutes ces attaques contre elle. Les gendarmes lui ont tout simplement répondus qu’il mène une enquête à charge et à décharge et lui confirme son audition en tant que témoin.
Les hommes en bleu continuent en lui disant que depuis des mois, la Crei en est encore à la recherche de preuve dans le cadre des biens mal acquis.
Pour les autres éclaircissements sur la situation de prêt contracté à la CNCA, un de ces biens immeubles, Madame Baldé très posée, les a orienté pour plus d’informations auprès de sont avocat, Me Baboucar Cissé et de son notaire Me Moustapha Ndiaye. Très sure d’elle, elle promet aux pandores d’aller chercher même une copie qu’elle va leur envoyer sous pli fermé.
Au terme de l’interrogatoire, Aminata Gassama prend son courage à deux main pour demander aux gendarmes les raisons de cet acharnement et toutes ces attaques contre elle. Les gendarmes lui ont tout simplement répondus qu’il mène une enquête à charge et à décharge et lui confirme son audition en tant que témoin.
Les hommes en bleu continuent en lui disant que depuis des mois, la Crei en est encore à la recherche de preuve dans le cadre des biens mal acquis.