Mariée et mère des deux (2) enfants jumeaux, Aïssatou Sow risque gros. Jugée pour infanticide, la jeune femme avoue se crime. Pour se défendre, elle invoque la pauvreté pour justifier son forfait. «Je n’arrive pas à nourrir mes jumeaux. Je suis obligée de mendier pour les nourrir. Leur père qui se trouve être mon époux nous a abandonnées », avance-t-elle.
Les faits remontent dans la nuit du 5 au 6 septembre 2014. Enceinte et abandonnée par son mari, Aida Souko décide de garder le secret jusqu'au jour de son accouchement. Ressentant des contractions, elle se rend au puits. Sur place, elle accouche, sans assistance, d'un enfant de sexe féminin. Aussitôt après, la dame étrangle son nouveau né et le jette dans le puits.
Alertés par des maçons, les éléments de la gendarmerie de Diamniadio, qui ont fait la découverte macabre, ont mis la main sur la dame suite à une enquête. Pour sa défense, son avocat qui plaide pour une application bienveillante de la loi, déclare que sa cliente n’a connu que des difficultés durant son existence.
Le délibéré est attendu le 3 juillet prochain, rapport "L'As".
Les faits remontent dans la nuit du 5 au 6 septembre 2014. Enceinte et abandonnée par son mari, Aida Souko décide de garder le secret jusqu'au jour de son accouchement. Ressentant des contractions, elle se rend au puits. Sur place, elle accouche, sans assistance, d'un enfant de sexe féminin. Aussitôt après, la dame étrangle son nouveau né et le jette dans le puits.
Alertés par des maçons, les éléments de la gendarmerie de Diamniadio, qui ont fait la découverte macabre, ont mis la main sur la dame suite à une enquête. Pour sa défense, son avocat qui plaide pour une application bienveillante de la loi, déclare que sa cliente n’a connu que des difficultés durant son existence.
Le délibéré est attendu le 3 juillet prochain, rapport "L'As".