Donald Trump n'a pas apprécié la sortie de Joe Biden. Au réveil ce jeudi 22 mars, le président des États-Unis a vivement critiqué sur Twitter la déclaration de la veille de l'ancien vice-président.
Dans un message publié à 05h19, heure locale, le milliardaire new-yorkais a demandé à "Joe Biden le fou" d'arrêter de jouer les "gros bras" alors que l'ex-président du Sénat démocrate avait dit lors d'un déplacement mercredi que le comportement de Trump avec les femmes lui donnait envie, "si nous étions au lycée, de l'emmener derrière la salle de sport et de le tabasser".
Ce n'est en effet pas la première fois que celui qui a été le vice-président de Barack Obama utilise cette formule coup de poing pour évoquer Donald Trump. En 2016, en pleine campagne présidentielle, il avait déjà utilisé les mêmes mots pour définir son face-à-face idéal avec Trump. Et en 2016, ce dernier n'avait évidemment pas manqué de lui répondre.
Huffingtonpost.fr
Dans un message publié à 05h19, heure locale, le milliardaire new-yorkais a demandé à "Joe Biden le fou" d'arrêter de jouer les "gros bras" alors que l'ex-président du Sénat démocrate avait dit lors d'un déplacement mercredi que le comportement de Trump avec les femmes lui donnait envie, "si nous étions au lycée, de l'emmener derrière la salle de sport et de le tabasser".
Il est faible. Mentalement et physiquement. Et pourtant il me menace, pour la deuxième fois. Il ne me connaît pas, je le mettrais KO vite fait bien fait et il en pleurerait du début à la fin. Ne menace pas les gens Joe!", a assuré Trump.
Crazy Joe Biden is trying to act like a tough guy. Actually, he is weak, both mentally and physically, and yet he threatens me, for the second time, with physical assault. He doesn’t know me, but he would go down fast and hard, crying all the way. Don’t threaten people Joe!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 22 mars 2018
Ce n'est en effet pas la première fois que celui qui a été le vice-président de Barack Obama utilise cette formule coup de poing pour évoquer Donald Trump. En 2016, en pleine campagne présidentielle, il avait déjà utilisé les mêmes mots pour définir son face-à-face idéal avec Trump. Et en 2016, ce dernier n'avait évidemment pas manqué de lui répondre.
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