Les employés de l'Isié en plein travail à Tunis le 24 octobre 2011. REUTERS/Zohra Bensemra
Les résultats communiqués ces dernières heures, confirment les bons chiffres d’Ennahda et le score inattendu du CPR de Moncef Marzouki, l'ex-opposant à Ben Ali exilé durant des années en France. Autre figure qui émerge et qui fait polémique, celle de ce riche Tunisien exilé à Londres, Hechmi Haamdi, qui a mené une campagne populiste via sa chaîne télévisée.
D’ici ce mercredi soir, on devrait être fixé sur la totalité des circonscriptions, et face à ceux qui s’impatientent, l’Instance supérieure indépendante de l’élection (Isié) assure travailler d’arrache-pied.
Anouar Ben Hassen, membre de l’Isié : « Nous ne pouvons pas imaginer, les jeunes, combien ils sont enthousiastes, ils ont travaillé vingt-quatre heures d’affilée ! Franchement, il y a de la fatigue aussi, avec un taux de participation qui est au-dessus de nos attentes... l’opération n’est pas facile ».
La pression sur l’instance qui organise l’élection est énorme. Et elle se veut d’ailleurs exemplaire et fait tout pour être à l’abri des critiques. Sa crédibilité dépendra notamment du traitement qu’elle réservera aux centaines de cas de fraudes portés à sa connaissance.
Une centaine de personnes ont manifesté hier mardi 25 octobre devant le siège de l'Isié à Tunis, accusant de fraude notamment Ennahda. De leur côté, les observateurs de l'Union européenne chargés de s'assurer du bon déroulement du scrutin se déclarent satisfaits dans 97% des bureaux de vote où le millier d'observateurs étaient présents.
Source: RFI
D’ici ce mercredi soir, on devrait être fixé sur la totalité des circonscriptions, et face à ceux qui s’impatientent, l’Instance supérieure indépendante de l’élection (Isié) assure travailler d’arrache-pied.
Anouar Ben Hassen, membre de l’Isié : « Nous ne pouvons pas imaginer, les jeunes, combien ils sont enthousiastes, ils ont travaillé vingt-quatre heures d’affilée ! Franchement, il y a de la fatigue aussi, avec un taux de participation qui est au-dessus de nos attentes... l’opération n’est pas facile ».
La pression sur l’instance qui organise l’élection est énorme. Et elle se veut d’ailleurs exemplaire et fait tout pour être à l’abri des critiques. Sa crédibilité dépendra notamment du traitement qu’elle réservera aux centaines de cas de fraudes portés à sa connaissance.
Une centaine de personnes ont manifesté hier mardi 25 octobre devant le siège de l'Isié à Tunis, accusant de fraude notamment Ennahda. De leur côté, les observateurs de l'Union européenne chargés de s'assurer du bon déroulement du scrutin se déclarent satisfaits dans 97% des bureaux de vote où le millier d'observateurs étaient présents.
Source: RFI