Des étudiantes portant le niqab devant l'université Manuba de Tunis, le 7 mars 2012 FETHI BELAID / AFP TUNISIA
Largement partagée sur les réseaux sociaux, la scène filmée sur téléphone portable a choqué de nombreux Tunisiens. Un manifestant salafistes grimpe sur le toit de l'université de la Manouba, arrache le drapeau national tunisien pour hisser le drapeau noir des islamistes radicaux. Un étudiant le rejoint sur le toit, tente de l'en empêcher mais se voit violemment repoussé.
S'ensuivent des échauffourées entre des dizaines de religieux et étudiants de gauche. Au final cinq seront belssés dont des étudiants en journalisme francais violemment frappés par des salafistes, et leur caméra détruite.
Ces nouveaux incidents illustrent l'impasse dans laquelle sont engagés les manifestants et l'administration de la princiaple université du pays.
Depuis vendredi, les religieux qui exigent depuis trois mois la légalisation du port voile intégral ont redoublé de colère contre le recteur. Après des violences contre des professeurs, six étudiants dont Mohamed Bahti, leader des manifestants salafistes, ont été traduits en conseil de discipline. Mais tous jurent que leur combat religieux continue.
Source: RFI
S'ensuivent des échauffourées entre des dizaines de religieux et étudiants de gauche. Au final cinq seront belssés dont des étudiants en journalisme francais violemment frappés par des salafistes, et leur caméra détruite.
Ces nouveaux incidents illustrent l'impasse dans laquelle sont engagés les manifestants et l'administration de la princiaple université du pays.
Depuis vendredi, les religieux qui exigent depuis trois mois la légalisation du port voile intégral ont redoublé de colère contre le recteur. Après des violences contre des professeurs, six étudiants dont Mohamed Bahti, leader des manifestants salafistes, ont été traduits en conseil de discipline. Mais tous jurent que leur combat religieux continue.
Source: RFI