Deux semaines après la reprise partielle de la conduite, le spectre de la pénurie d’eau reste omniprésent. La réparation du tuyau n’inspire pas confiance à certains experts. « La pièce défectueuse a des problèmes entre les deux conduits. C’est à cause des tuyaux en forme de culotte qui n’ont pas le même diamètre. L’un est de 800 millimètres, tandis que l’autre est de 1200 millimètres. Donc, avec la pression, il y aura forcément de cassure », a alerté l’ancien conducteur des travaux à la CSE. Dans les colonnes du quotidien « Libération », Mamadou Dia Cissokho prédit qu’à tout moment un incident peut survenir.
« Je le dis ici et maintenant, demain, même réparé, le conduit de Keur Momar Sarr peut à nouveau céder à cause de la pression qui n’est pas de même niveau avec un tuyau d’un diamètre de 800 millimètres face à un autre de 1200 millimètres. Ils devaient être du même diamètre et cela tout les ingénieurs le savent », renchérit, M. Cissokho qui propose qu’il soit mis au niveau de Keur Momar Sarr un socle en béton qui fera office de chambre pour les tuyaux avec la même architecture. « De ce fait, en cas de panne, il servira aussitôt de relai jusqu’à la réparation », prévient-il.
« Je le dis ici et maintenant, demain, même réparé, le conduit de Keur Momar Sarr peut à nouveau céder à cause de la pression qui n’est pas de même niveau avec un tuyau d’un diamètre de 800 millimètres face à un autre de 1200 millimètres. Ils devaient être du même diamètre et cela tout les ingénieurs le savent », renchérit, M. Cissokho qui propose qu’il soit mis au niveau de Keur Momar Sarr un socle en béton qui fera office de chambre pour les tuyaux avec la même architecture. « De ce fait, en cas de panne, il servira aussitôt de relai jusqu’à la réparation », prévient-il.