Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) Section UCAD est très remonté conte l’Etat du Sénégal à qui il reproche de n’avoir pas respecté ses engagements. C’est dans ce cadre que Malick Fall et Cie, lors de leur conférence de presse de ce matin, ont décidé de hausser le ton en procédant à des débrayages quotidiennement.
En effet, ces enseignants déplorent le retard de paiements récurrents des salaires des vacataires de l’Université. Ce retard s’est encore avec le non-paiement de ceux du mois de décembre.
Les camarades de Malick Fall ont aussi tenu à alerter l’opinion sur «le sabotage des autorités» orchestré dans le secteur de l’enseignement supérieur avec le non-respect du budget. Selon eux, les indemnités des présidents de jury du bac ne sont payées et depuis 2015, aucun avancement n’a été noté, surtout concernant ceux au niveau du Cames.
Les enseignants exigent du gouvernement la franchise du budget des universités, ainsi que l’audit du contrat de performance d’autant plus le matériel pour le bon fonctionnement du campus pédagogique leur fait défaut.
Pour toutes ces défaillances, les syndicalistes réaffirment leur détermination à ne pas reculer dans leur lutte et ce, jusqu’à ce que l’Etat décide de les rétablir dans leurs droits.
En effet, ces enseignants déplorent le retard de paiements récurrents des salaires des vacataires de l’Université. Ce retard s’est encore avec le non-paiement de ceux du mois de décembre.
Les camarades de Malick Fall ont aussi tenu à alerter l’opinion sur «le sabotage des autorités» orchestré dans le secteur de l’enseignement supérieur avec le non-respect du budget. Selon eux, les indemnités des présidents de jury du bac ne sont payées et depuis 2015, aucun avancement n’a été noté, surtout concernant ceux au niveau du Cames.
Les enseignants exigent du gouvernement la franchise du budget des universités, ainsi que l’audit du contrat de performance d’autant plus le matériel pour le bon fonctionnement du campus pédagogique leur fait défaut.
Pour toutes ces défaillances, les syndicalistes réaffirment leur détermination à ne pas reculer dans leur lutte et ce, jusqu’à ce que l’Etat décide de les rétablir dans leurs droits.