Son Assemblée générale tenue ce mardi à l’UCAD, le SAES exige entre autres le paiement des salaires dus à certains enseignants ainsi que l’audit des contrats de performance.
«L’Assemblée générale a décidé de décréter un mot d’ordre de 72 heures à partir de ce mercredi; vendredi, nous avons décidé de faire un sit in devant le rectorat», annonce le coordonnateur du SAES section Dakar.
Le mot d’ordre ainsi lancé, Ngary Diouf de poursuivre: «Nous n’avons pas vu d’avancées par rapport à tout ce qui devait être livré au niveau des infrastructures pédagogiques. L’autorité avait pris l’engagement de les livrer à la fin du mois de novembre».
Revendiquant «les sommes dues au personnel enseignant et de recherche», «on ne sait même plus combien l’Université doit aux enseignants», vocifère-t-il.
«L’audit des contrats de performance» sollicité, le SAES veut «voir réellement qu’est-ce qui a été injecté et qu’est-ce que cela a rapporté à l’université en terme d’améliorations des conditions d’enseignement des étudiants».
«Toute perturbation de l’année scolaire 2016-2017 ne peut être en aucune manière imputée aux enseignants, au contraire, cela doit être imputée à l’autorité responsable de cette situation, le recteur et ses collaborateurs», scande Ngary Diouf.
«L’Assemblée générale a décidé de décréter un mot d’ordre de 72 heures à partir de ce mercredi; vendredi, nous avons décidé de faire un sit in devant le rectorat», annonce le coordonnateur du SAES section Dakar.
Le mot d’ordre ainsi lancé, Ngary Diouf de poursuivre: «Nous n’avons pas vu d’avancées par rapport à tout ce qui devait être livré au niveau des infrastructures pédagogiques. L’autorité avait pris l’engagement de les livrer à la fin du mois de novembre».
Revendiquant «les sommes dues au personnel enseignant et de recherche», «on ne sait même plus combien l’Université doit aux enseignants», vocifère-t-il.
«L’audit des contrats de performance» sollicité, le SAES veut «voir réellement qu’est-ce qui a été injecté et qu’est-ce que cela a rapporté à l’université en terme d’améliorations des conditions d’enseignement des étudiants».
«Toute perturbation de l’année scolaire 2016-2017 ne peut être en aucune manière imputée aux enseignants, au contraire, cela doit être imputée à l’autorité responsable de cette situation, le recteur et ses collaborateurs», scande Ngary Diouf.