
Trump signerait le projet de loi. Jusque-là, le président américain s’est refusé à imposer de nouvelles sanctions envers la Russie. Il avait même demandé à Lindsay Graham d’assouplir certaines dispositions du texte.
De l’autre côté de l’échiquier, le représentant spécial de Donald Trump, Steve Witcoff, qui a fait plusieurs déplacements en Russie ces derniers mois, est partisan d’un adoucissement des sanctions. Le secrétaire d’État Marco Rubio estimait, le mois dernier, qu’infliger davantage de sanctions à la Russie priverait les États-Unis d’un levier diplomatique et pourrait les empêcher de négocier un cessez-le-feu en Ukraine. Son homologue de la Défense, Pete Hegseth, adopte une posture prudente. Il plaide pour une approche plus ciblée et nuancée, plutôt qu’une escalade.
Selon un sondage publié par le New York Post, les trois quarts des Américains qui ont voté pour Donald Trump sont favorables à de nouvelles sanctions économiques contre la Russie.
De l’autre côté de l’échiquier, le représentant spécial de Donald Trump, Steve Witcoff, qui a fait plusieurs déplacements en Russie ces derniers mois, est partisan d’un adoucissement des sanctions. Le secrétaire d’État Marco Rubio estimait, le mois dernier, qu’infliger davantage de sanctions à la Russie priverait les États-Unis d’un levier diplomatique et pourrait les empêcher de négocier un cessez-le-feu en Ukraine. Son homologue de la Défense, Pete Hegseth, adopte une posture prudente. Il plaide pour une approche plus ciblée et nuancée, plutôt qu’une escalade.
Selon un sondage publié par le New York Post, les trois quarts des Américains qui ont voté pour Donald Trump sont favorables à de nouvelles sanctions économiques contre la Russie.