La famille d’Ibrahima Samb se signale. Un an après le drame, le père du défunt crie à la justice. Moustapha Samb qui continue de dénoncer les conditions du « meurtre » de son fils car fulmine-t-il, « dans un premier temps, le commissaire a tenté de nous distraire en informant qu’une personne du nom d’Ibrahima Samb n’est pas dans ses locaux. Ensuite, il nous appelle e lendemain pour nous dire qu’il est à l’hôpital de Janatou et qu’il a eu un malaise. Arrivé sur place, je retrouve un cadavre dans la morgue ».
Pire, indique ce dernier : «Plus inquiétant, nous avons appris que le principal suspect, le Brigadier Thiendella Ndiaye, séjourne au pavillon spécial de Le Dantec et qu’il n’est plus à la prison de Diourbel. Certains disent qu’il ne jouit plus de ses facultés. Nous craignons que sa folie ne soit un alibi ». La patience a des limites, fulmine la famille. Ce, d’autant plus que, ragent-ils dans "Le populaire", « l’affaire Bassirou Faye est moins grave que celle de leur fils ». Selon eux, « l’étudiant affrontait des policiers avant d’être abattu par balle. Par contre, Ibrahima Samb a été rué de coups, ses côtes et son cou brisés, avant d’être délibérément enfermé dans une malle de voiture pendant deux (2) heures ».
Pire, indique ce dernier : «Plus inquiétant, nous avons appris que le principal suspect, le Brigadier Thiendella Ndiaye, séjourne au pavillon spécial de Le Dantec et qu’il n’est plus à la prison de Diourbel. Certains disent qu’il ne jouit plus de ses facultés. Nous craignons que sa folie ne soit un alibi ». La patience a des limites, fulmine la famille. Ce, d’autant plus que, ragent-ils dans "Le populaire", « l’affaire Bassirou Faye est moins grave que celle de leur fils ». Selon eux, « l’étudiant affrontait des policiers avant d’être abattu par balle. Par contre, Ibrahima Samb a été rué de coups, ses côtes et son cou brisés, avant d’être délibérément enfermé dans une malle de voiture pendant deux (2) heures ».