La totalité des victimes filmées sont des femmes, de 30 à 40 ans pour la plupart mais aussi quelques-une de plus de 50 ans. Deux d’entre elles accusent le masseur limbourgeois de viol. Les faits ont été dévoilés lors d’une plainte. La police a lancé une perquisition et découvert les images des séances sauvegardées sur l’ordinateur du suspect. Parmi les clientes concernées, une chanteuse flamande “connue” et une ancienne élue. Leur identité n’a pas été révélée, relate HLN.be.
L’homme, P.S., est en détention préventive depuis 8 mois et actuellement sous le régime du bracelet électronique. Il doit répondre de divers chefs d’accusation dont atteinte à la vie privée, voyeurisme, attentat à la pudeur, agressions sexuelles, attouchements non consentis et viol. Le procureur a requis une peine de quatre ans de prison. Les débats devraient se tenir à l’automne 2023.
L’homme, P.S., est en détention préventive depuis 8 mois et actuellement sous le régime du bracelet électronique. Il doit répondre de divers chefs d’accusation dont atteinte à la vie privée, voyeurisme, attentat à la pudeur, agressions sexuelles, attouchements non consentis et viol. Le procureur a requis une peine de quatre ans de prison. Les débats devraient se tenir à l’automne 2023.
Une trentaine de femmes ne se sont pas encore constituées parties civiles pour des raisons d’ordre financier et/ou personnelles. Certaines des victimes s’avèrent en effet trop affectées émotionnellement par cette affaire pour oser s’exposer publiquement. Un sentiment de honte ronge aussi une partie de ces victimes: “Ce sont des femmes d’un certain statut social ou professionnel. Parmi elles, on retrouve, par exemple, une chanteuse et une ancienne femme politique. Elles n’osent plus sortir de chez elles, même si, en tant que victimes, elles n’ont pas à avoir honte”, commente la journaliste de VTM Nathalie Dyck qui couvre le procès.