L’information a fait le tour de la ville de Touba avant d’être confirmée par des sources dignes de foi, renseignent nos confrères de L’Observateur. C’est Pape Diop, président du Sénat, qui a fait le déplacement dans la ville sainte jeudi dernier pour cette « opération » de charme. Mais le maître des lieux a « décliné » l’offre en leur demandant d’attendre.
D’après le Khalife, le contexte, « trop chargé », ne plaide pas pour des travaux d’une si grande envergure. Et le moment est inopportun. Apparemment « bouleversés » par cette réponse courtoise mais ferme, les émissaires de Wade encaissent le « coup», mais ne se découragent pas pour autant. Ils sont allés à la rencontre du « bras droit » du khalife, Serigne Mountakha Bassirou, qui, lui aussi, a suivi la voie tracée par son frère.
En dépit des multiples visites, Touba reste de marbre et n’est disposé à donner aucune consigne de vote au bénéfice de tel ou tel candidat. Les deux candidats en lice pour le second tour présidentiel, sont appelés aux urnes avec le peuple sénégalais, le 25 mars prochain.
Pour l’heure, seuls les militaires et paramilitaires ont accompli leur devoir civique dans toute une sérénité. La participation des hommes en tenue a été jugée « faible » mais « mieux » qu’au premier tour.
D’après le Khalife, le contexte, « trop chargé », ne plaide pas pour des travaux d’une si grande envergure. Et le moment est inopportun. Apparemment « bouleversés » par cette réponse courtoise mais ferme, les émissaires de Wade encaissent le « coup», mais ne se découragent pas pour autant. Ils sont allés à la rencontre du « bras droit » du khalife, Serigne Mountakha Bassirou, qui, lui aussi, a suivi la voie tracée par son frère.
En dépit des multiples visites, Touba reste de marbre et n’est disposé à donner aucune consigne de vote au bénéfice de tel ou tel candidat. Les deux candidats en lice pour le second tour présidentiel, sont appelés aux urnes avec le peuple sénégalais, le 25 mars prochain.
Pour l’heure, seuls les militaires et paramilitaires ont accompli leur devoir civique dans toute une sérénité. La participation des hommes en tenue a été jugée « faible » mais « mieux » qu’au premier tour.