Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (RESTIC) annonce une plainte contre le réseau social TikTok devant la Commission des Protection des Données Personnelles du Sénégal. Ce, pour « non respect par le réseau social d’origine chinoise de la législation du Sénégal sur les données personnelles notamment les enfants et mineurs qui constituent une audience et une cible pour la société chinoise ».
D’après le communiqué de presse parvenu à PressAfrik ce vendredi 24 mars, les conseillers juridiques le RESTIC comptent « traîner en justice, la société Bytedance (officiellement enregistrée aux îles Caïmans) qui gère la plateforme TikTok pour stockage de contenus d’autrui dans des serveurs situes hors du territoire senegalais, des données qui peuvent être utilisées à d’autres fins, notamment aux fins d’espionnage ».
Le document souligne qu’ils ont pour objectif de contraindre TikTok à adapter ses contenus et ses algorithmes aux législations sénégalaises sur les enfants et mineurs, une protection effectives des données de citoyens contre toute utilisation à des fins autres que celles pour lesquelles leurs auteurs les ont publiées ».
S’exprimant sur l’affaire Kopar Express, qui est dans des difficultés ces derniers temps, RESTIC demande aux autorités » l’élargissement des fondateurs de KOPPAR Express et un meilleur cadre législatif qui protège les entrepreneurs du digital et du numérique pour le développement de leur business modèle autour de l’innovation financière et technologique ».
En plus de cela, ils soulignent que les Technologies de l’information et de la communication (Tic) avec les communications électroniques contribuent à hauteur de « 15% de notre PIB ».
« Les fintech contribuent à fluidifier les flux de transactions et contribuer à l’inclusion financière des populations. C’est donc un maillon essentiel pour notre économie », lit-on sur le document.
D’après le communiqué de presse parvenu à PressAfrik ce vendredi 24 mars, les conseillers juridiques le RESTIC comptent « traîner en justice, la société Bytedance (officiellement enregistrée aux îles Caïmans) qui gère la plateforme TikTok pour stockage de contenus d’autrui dans des serveurs situes hors du territoire senegalais, des données qui peuvent être utilisées à d’autres fins, notamment aux fins d’espionnage ».
Le document souligne qu’ils ont pour objectif de contraindre TikTok à adapter ses contenus et ses algorithmes aux législations sénégalaises sur les enfants et mineurs, une protection effectives des données de citoyens contre toute utilisation à des fins autres que celles pour lesquelles leurs auteurs les ont publiées ».
S’exprimant sur l’affaire Kopar Express, qui est dans des difficultés ces derniers temps, RESTIC demande aux autorités » l’élargissement des fondateurs de KOPPAR Express et un meilleur cadre législatif qui protège les entrepreneurs du digital et du numérique pour le développement de leur business modèle autour de l’innovation financière et technologique ».
En plus de cela, ils soulignent que les Technologies de l’information et de la communication (Tic) avec les communications électroniques contribuent à hauteur de « 15% de notre PIB ».
« Les fintech contribuent à fluidifier les flux de transactions et contribuer à l’inclusion financière des populations. C’est donc un maillon essentiel pour notre économie », lit-on sur le document.
Autres articles
-
Déficit budgétaire, problèmes d’électricité et d’approvisionnement en eau : Saes UADB réclame un audit financier de l’université
-
Préparatifs de la Tabaski : l'Arabie Saoudite octroie 10.000 carcasses de moutons au Sénégal
-
Opération de déguerpissement aux PA et à Grand Yoff: la mairie de Dakar nie toute implication
-
Mbour : un homme vole cinq (5) sacs d'oignons pour fêter la Korité avec sa famille
-
Hôpital Fann : les malades atteints d'Avc renvoyés pour faute de lits