Les syndicats des œuvres sociales universitaires ont vivement réagi aux propos tenus par le ministre des Finances lors de son passage à l’Assemblée nationale, ce lundi 1ᵉʳ décembre 2025. Dans un communiqué conjoint, ils affirment que de nombreux travailleurs « se sont inquiétés » des déclarations du ministre et demandent des explications sur « les motivations de son discours ».
Les organisations signataires « s’insurgent contre ses allégations » et appellent les personnels administratifs, techniques et de service (PATS) à « se tenir prêts et debout contre toute tentative de déstabilisation du fonctionnement, jusqu’ici correct et stable, des œuvres sociales universitaires ».
Les syndicats rappellent que les PATS ont été recrutés « par nécessité de service », en raison de l’ampleur et de la diversité des prestations fournies quotidiennement aux étudiants, dans des structures fonctionnant « 24h/24 ». Ils précisent que ce recrutement est encadré par « un statut spécial » défini par le décret 2023-1694, qui autorise le recrutement de personnel sans diplôme pour des tâches spécifiques.
« On ne saurait donc accepter qu’on pointe du doigt, ni le nombre, ni la qualité des personnes légalement recrutées », lit-on dans le document. Les syndicats invitent d’ailleurs le ministre à « orienter ses préoccupations vers d’autres secteurs plus budgétivores » s’il souhaite rationaliser la dépense publique.
Ils soulignent que les PATS « ne disposent ni de fonds communs, ni d’indemnités de logement, encore moins de treizième mois ». Les déclarations ministérielles sont qualifiées de « maladroites », et les syndicats assurent les travailleurs de « leur détermination sans concession » à défendre leurs acquis.
Ils lancent également un appel à l’unité syndicale : « Nous appelons tous les syndicats des PATS à une convergence d’action pour défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs déjà suffisamment bafoués par les licenciements abusifs et l’arrêt des contrats de la majeure partie des agents temporaires. »
« Les données ont changé. Notre ancien défenseur […] a changé de veste et on dirait qu’il tient maintenant son bâton et se dirige vers nous », conclut le communiqué.
Les organisations signataires « s’insurgent contre ses allégations » et appellent les personnels administratifs, techniques et de service (PATS) à « se tenir prêts et debout contre toute tentative de déstabilisation du fonctionnement, jusqu’ici correct et stable, des œuvres sociales universitaires ».
Les syndicats rappellent que les PATS ont été recrutés « par nécessité de service », en raison de l’ampleur et de la diversité des prestations fournies quotidiennement aux étudiants, dans des structures fonctionnant « 24h/24 ». Ils précisent que ce recrutement est encadré par « un statut spécial » défini par le décret 2023-1694, qui autorise le recrutement de personnel sans diplôme pour des tâches spécifiques.
« On ne saurait donc accepter qu’on pointe du doigt, ni le nombre, ni la qualité des personnes légalement recrutées », lit-on dans le document. Les syndicats invitent d’ailleurs le ministre à « orienter ses préoccupations vers d’autres secteurs plus budgétivores » s’il souhaite rationaliser la dépense publique.
Ils soulignent que les PATS « ne disposent ni de fonds communs, ni d’indemnités de logement, encore moins de treizième mois ». Les déclarations ministérielles sont qualifiées de « maladroites », et les syndicats assurent les travailleurs de « leur détermination sans concession » à défendre leurs acquis.
Ils lancent également un appel à l’unité syndicale : « Nous appelons tous les syndicats des PATS à une convergence d’action pour défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs déjà suffisamment bafoués par les licenciements abusifs et l’arrêt des contrats de la majeure partie des agents temporaires. »
« Les données ont changé. Notre ancien défenseur […] a changé de veste et on dirait qu’il tient maintenant son bâton et se dirige vers nous », conclut le communiqué.