La campagne agricole s’annonce sombre dans la vallée de l’Anambé, département de Vélingara (sud). Plus de 90% des parcelles aménagées n’ont pas été emblavées cette année, conséquence directe des fortes inondations qui ont frappé la zone.
Selon Mamadou Gano, coordonnateur du collectif des jeunes et producteurs de la vallée, la situation est critique. « Depuis le 14 juillet dernier, la localité a reçu plus de 140 mm de pluie en moins de 24 heures. Cela a suffi pour détruire les parcelles déjà semées et empêcher l’exploitation des autres », a-t-il alerté.
Les producteurs pointent particulièrement du doigt le secteur G . « Ce secteur est mal fait. Là, on ne peut ni drainer, ni irriguer », déplore M. Gano. Résultat : la majorité des riziculteurs se retrouvent les mains liées, incapables de mettre en valeur leurs terres.
L’inquiétude est d’autant plus grande que beaucoup d’agriculteurs se sont endettés auprès des banques pour financer leur campagne. « Les riziculteurs sont très angoissés à cause des crédits contractés », confie encore le coordonnateur.
Face à cette situation, les producteurs de la vallée en appellent à l’État et aux nouvelles autorités pour une réhabilitation rapide des installations hydro-agricoles. Ils estiment qu’une meilleure maîtrise de l’eau est indispensable, notamment pour préparer la culture de contre-saison.
En attendant, ils réclament également des mesures urgentes pour protéger les rares parcelles semées contre les oiseaux granivores, afin de sauver ce qui peut encore l’être.
Selon Mamadou Gano, coordonnateur du collectif des jeunes et producteurs de la vallée, la situation est critique. « Depuis le 14 juillet dernier, la localité a reçu plus de 140 mm de pluie en moins de 24 heures. Cela a suffi pour détruire les parcelles déjà semées et empêcher l’exploitation des autres », a-t-il alerté.
Les producteurs pointent particulièrement du doigt le secteur G . « Ce secteur est mal fait. Là, on ne peut ni drainer, ni irriguer », déplore M. Gano. Résultat : la majorité des riziculteurs se retrouvent les mains liées, incapables de mettre en valeur leurs terres.
L’inquiétude est d’autant plus grande que beaucoup d’agriculteurs se sont endettés auprès des banques pour financer leur campagne. « Les riziculteurs sont très angoissés à cause des crédits contractés », confie encore le coordonnateur.
Face à cette situation, les producteurs de la vallée en appellent à l’État et aux nouvelles autorités pour une réhabilitation rapide des installations hydro-agricoles. Ils estiment qu’une meilleure maîtrise de l’eau est indispensable, notamment pour préparer la culture de contre-saison.
En attendant, ils réclament également des mesures urgentes pour protéger les rares parcelles semées contre les oiseaux granivores, afin de sauver ce qui peut encore l’être.