«Il n’y a rien de fait ». C’est ce qu’a déclaré André Froissard le Directeur général de la Compagnie sucrière sénégalaise (Css) qui revenait sur la supposée vente de cette compagnie à des étrangers.
Selon lui, il ne s’agit que de transactions car : « le capital est ouvert et il y a des transactions, mais il n’y a encore rien de fait », rappelle-t-il ; affirmant que ce n’est pas une première puisque des pourparlers existent depuis 2006 mais que la seule différence est que ceux de 2016 «font plus de bruits que les autres».
Le Dg de la Css de faire savoir que vu les performances du Sénégal, «rien de plus normal que les grands sucriers du monde aient envie de se payer la Css».
M. Froissard de marteler que «la Css n’appartient pas Mimran. Elle appartient à Richard Toll où elle vit et se développera».
Selon lui, il ne s’agit que de transactions car : « le capital est ouvert et il y a des transactions, mais il n’y a encore rien de fait », rappelle-t-il ; affirmant que ce n’est pas une première puisque des pourparlers existent depuis 2006 mais que la seule différence est que ceux de 2016 «font plus de bruits que les autres».
Le Dg de la Css de faire savoir que vu les performances du Sénégal, «rien de plus normal que les grands sucriers du monde aient envie de se payer la Css».
M. Froissard de marteler que «la Css n’appartient pas Mimran. Elle appartient à Richard Toll où elle vit et se développera».