Les autorités sénégalaises qui ne badinent pas avec la sécurité sur la venue de Barack Obama, sont allées jusqu’à même « expulser » ou presque la princesse royale du Qatar, Sheikha Mozah avant-hier soir vers les coups de 17 heures 30 mn lorsque le jet privé Q6 RJB de la Royale Jet des Emirats Arabes Unis, en provenance de la Guinée-Bissau est interdit d’accès à LSS et invité à atterrir à Saint-Louis.
En compagnie de ses deux petites sœurs, sa petite cour et ses gardes du corps, la princesse qui a atterri au Nord vers les coups de 18 heures, a été accueillies par les forces de sécurité qui, après avoir vérifier son identité, l’ont conduite dans un hôtel de l’île de Saint-Louis où Sheikha Mozah surveillé de près, elle restait cloitrée dans sa chambre avant de quitter le territoire pour rallier le Maroc en présence du commissaire central, Ibrahima Diop, un gradé de la gendarmerie nationale et ses hommes, des agents de la Police aérienne et des frontières et des éléments de la BMS.
Mais, qu’est-ce qui explique cette surveillance accrue et pourquoi tout ce dispositif sécuritaire ? Ce, d'autant plus que la princesse Qatarie était simplement venue en touriste, selon une source qui se confie sur les colonnes du journal « L’Observateur ».
En compagnie de ses deux petites sœurs, sa petite cour et ses gardes du corps, la princesse qui a atterri au Nord vers les coups de 18 heures, a été accueillies par les forces de sécurité qui, après avoir vérifier son identité, l’ont conduite dans un hôtel de l’île de Saint-Louis où Sheikha Mozah surveillé de près, elle restait cloitrée dans sa chambre avant de quitter le territoire pour rallier le Maroc en présence du commissaire central, Ibrahima Diop, un gradé de la gendarmerie nationale et ses hommes, des agents de la Police aérienne et des frontières et des éléments de la BMS.
Mais, qu’est-ce qui explique cette surveillance accrue et pourquoi tout ce dispositif sécuritaire ? Ce, d'autant plus que la princesse Qatarie était simplement venue en touriste, selon une source qui se confie sur les colonnes du journal « L’Observateur ».