Transformer les frontières en des moteurs de croissance, voilà l'ambition affichée par le Mali, le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire. En d'autres termes, les entreprises qui voudront investir dans les régions frontalières de Korogho, Sikasso et Bobo-Dioulasso se verront offrir des avantages.
Pour l'instant, les trois pays ont posé le cadre de la Zone économique spéciale et devraient dans les mois qui viennent en définir les modalités précises. Il s'agira probablement d'avantages fiscaux et d'incitations financières, et sans doute aussi de projets communs aux trois pays, projets publics ou partenariat public-privé.
Ces trois pays qui appartiennent à l'espace UEMOA appliquent déjà la libre circulation des hommes et des biens, mais les échanges transfrontaliers ont encore un fort potentiel de développement, explique un haut fonctionnaire ivoirien. Agriculture, mines, mais aussi industries de transformation et services pourraient largement bénéficier d'une intégration accrue. Ira-t-on vers une zone franche ? C'est-à-dire exempte de taxes et impôts ? Il est encore trop tôt pour le dire, mais l'idée est sur la table. Ce serait en tous cas un signal fort, estiment des chefs d'entreprise de la région.
Pour l'instant, les trois pays ont posé le cadre de la Zone économique spéciale et devraient dans les mois qui viennent en définir les modalités précises. Il s'agira probablement d'avantages fiscaux et d'incitations financières, et sans doute aussi de projets communs aux trois pays, projets publics ou partenariat public-privé.
Ces trois pays qui appartiennent à l'espace UEMOA appliquent déjà la libre circulation des hommes et des biens, mais les échanges transfrontaliers ont encore un fort potentiel de développement, explique un haut fonctionnaire ivoirien. Agriculture, mines, mais aussi industries de transformation et services pourraient largement bénéficier d'une intégration accrue. Ira-t-on vers une zone franche ? C'est-à-dire exempte de taxes et impôts ? Il est encore trop tôt pour le dire, mais l'idée est sur la table. Ce serait en tous cas un signal fort, estiment des chefs d'entreprise de la région.
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