Les faits se sont produits dans la nuit de ce 9 au 10 octobre. Le cabinet de Me El Hadji Diouf, député, leader du Parti des Travailleurs et du Peuple (PTP) et avocat de l’Etat du Sénégal dans le procès de Karim, a été cambriolé. Sis sur la Voie de Dégagement Nord (VDN) (Dakar), a été en effet, visité par des malfaiteurs qui ont mis sens dessous son bureau. La robe noire liant le cambriolage aux dossiers chauds qu’il gère, que recherchaient donc les malfaiteurs ? Dans tous les cas, charge l’avocat avec le ton qu’on lui connait : « Ils ont perdu leur temps » en ce qui concerne les « dossiers et l’argent » qu’il ne garde jamais dans son bureau.
La gendarmerie de la Foire s’est saisie de l’affaire. Mais l’avocat de menacer : « Je ne sais pas ce qu’ils cherchaient. Des documents importants dans le procès Habré ou celui de Karim ou dans l’affaire Marième Faye Sall contre les soi-disant petits marabouts,… Ils perdent leurs temps…Personne ne peut m’intimider. Je suis armé jusqu’aux dents. Quiconque se dresse sur mon chemin, je le fusille ». Ce, d’autant plus, précise-t-il : « Ce n’est pas par effraction qu’on a ouvert la porte. On a ouvert avec une clé. C’est à partir de l’intérieur qu’on a essayé de simuler en fracassant la port, le bois qui est contigu à la serrure… ».
Alors en séminaire à Saly, Me El Hadji Diouf dans «le Populaire» dit avoir été alerté par sa secrétaire.
La gendarmerie de la Foire s’est saisie de l’affaire. Mais l’avocat de menacer : « Je ne sais pas ce qu’ils cherchaient. Des documents importants dans le procès Habré ou celui de Karim ou dans l’affaire Marième Faye Sall contre les soi-disant petits marabouts,… Ils perdent leurs temps…Personne ne peut m’intimider. Je suis armé jusqu’aux dents. Quiconque se dresse sur mon chemin, je le fusille ». Ce, d’autant plus, précise-t-il : « Ce n’est pas par effraction qu’on a ouvert la porte. On a ouvert avec une clé. C’est à partir de l’intérieur qu’on a essayé de simuler en fracassant la port, le bois qui est contigu à la serrure… ».
Alors en séminaire à Saly, Me El Hadji Diouf dans «le Populaire» dit avoir été alerté par sa secrétaire.