Le 2 juin 2020, Mb. Nd., mère de F. S., avait saisi le Commissariat spécial de Touba d’une plainte contre S. Diakhaté qu’elle accusait d’avoir violé sa fille. D’après le quotidien « L’As », les faits ont eu lieu dans le domicile de la dame Mb. Nd. en son absence. Cette dernière a précisé que sa fille n’est pas une déficiente mentale mais sourde-muette.
« J’ai découvert que ma fille était enceinte. Quand je lui ai demandé, elle a désigné l’accusé comme étant l’auteur et il l’avait menacé de mort », a relaté la maman de la victime à la barre de la Chambre criminelle de Diourbel. Attrait à la barre, F. S. a émis des sons et des gestes pour relater les faits.
Mais n’y comprenant pas grand-chose, le président de la Chambre criminelle demande à sa mère de les interpréter. Par ailleurs, concernant le nombre de rapports sexuels, la plaignante, par un signe du doigt, a indiqué avoir entretenu une seule fois des rapports intimes avec le prévenu.
Contrairement à elle, l’accusé a reconnu plusieurs rapports sexuels consentants avec la plaignante, tout en rejetant le viol. « Je ne l’ai pas violée. Nous avons eu des rapports sexuels à quatre reprises, elle était toujours consentante », a révélé S. Diakhaté.
Ce dernier avait nié les faits lors de l’enquête et devant le juge d’instruction. Et selon lui, c’était dans le but de sauver son mariage qui venait d’être scellé, juste une semaine avant les faits.
Après que la partie civile se soit désistée, le Parquet a demandé l’acquittement du mis en cause. S. Diakhaté, il a été finalement libéré.
« J’ai découvert que ma fille était enceinte. Quand je lui ai demandé, elle a désigné l’accusé comme étant l’auteur et il l’avait menacé de mort », a relaté la maman de la victime à la barre de la Chambre criminelle de Diourbel. Attrait à la barre, F. S. a émis des sons et des gestes pour relater les faits.
Mais n’y comprenant pas grand-chose, le président de la Chambre criminelle demande à sa mère de les interpréter. Par ailleurs, concernant le nombre de rapports sexuels, la plaignante, par un signe du doigt, a indiqué avoir entretenu une seule fois des rapports intimes avec le prévenu.
Contrairement à elle, l’accusé a reconnu plusieurs rapports sexuels consentants avec la plaignante, tout en rejetant le viol. « Je ne l’ai pas violée. Nous avons eu des rapports sexuels à quatre reprises, elle était toujours consentante », a révélé S. Diakhaté.
Ce dernier avait nié les faits lors de l’enquête et devant le juge d’instruction. Et selon lui, c’était dans le but de sauver son mariage qui venait d’être scellé, juste une semaine avant les faits.
Après que la partie civile se soit désistée, le Parquet a demandé l’acquittement du mis en cause. S. Diakhaté, il a été finalement libéré.