Les partisans du Oui et ceux du Non se font face de plus en plus. Et ces face-à-face se terminent de plus en plus par des jets de pierres entre les différents acteurs. En effet, de Saint-Louis à Ziguinchor, en passant par Dakar, Fatick, Thiès, et Kaolack, partout des jets de pierres ont émaillés la campagne référendaire qui pourtant, avait débuté dans la bonne humeur.
Cette recrudescence de la violence interpelle les Sénégalais qui pensaient que les partisans du Oui et ceux du Non, œuvraient tous pour l’intérêt du Sénégal mais avec des approches différentes. Mais finalement, pense cette dame habitant aux Parcelles Assainies, «ils sont tous les mêmes. Ils ne militent que pour leurs propres intérêts».
Elle est confortée dans cette idée par Modou (non d’emprunt) qui est étudiant à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar : «Les hommes politiques sénégalais ne sont pas dignes de confiance. Partout on vous dit que le Président a fait du wax waxeet, et c’est vrai. Mais eux aussi ne sont pas meilleurs puisqu’ils se sont adonnés à la même tactique, surtout Khalifa Sall et Malick Gackou qui, après avoir participé aux Assises nationales et avalisé ses conclusions, se braquent contre elles sous prétexte qu’il n’y a pas eu de discussions. Si c’est l’intérêt du Sénégal qui les animaient le débat serait autre car les priorités se trouvent ailleurs».
El Hadj, commerçant de son état aux marchés «Dior » lui, se dit outré par la violence qui règne actuellement dans cette campagne. Il ne trouve pas que convaincre les Sénégalais puisse se faire par la force. Selon lui, en lieu et place de la lutte pour le Sénégal, les hommes politiques militent pour bien se positionner. Et, affirme-t-il «c’est ce qui a amené les coups de feu tirés à Touba».
Cette recrudescence de la violence interpelle les Sénégalais qui pensaient que les partisans du Oui et ceux du Non, œuvraient tous pour l’intérêt du Sénégal mais avec des approches différentes. Mais finalement, pense cette dame habitant aux Parcelles Assainies, «ils sont tous les mêmes. Ils ne militent que pour leurs propres intérêts».
Elle est confortée dans cette idée par Modou (non d’emprunt) qui est étudiant à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar : «Les hommes politiques sénégalais ne sont pas dignes de confiance. Partout on vous dit que le Président a fait du wax waxeet, et c’est vrai. Mais eux aussi ne sont pas meilleurs puisqu’ils se sont adonnés à la même tactique, surtout Khalifa Sall et Malick Gackou qui, après avoir participé aux Assises nationales et avalisé ses conclusions, se braquent contre elles sous prétexte qu’il n’y a pas eu de discussions. Si c’est l’intérêt du Sénégal qui les animaient le débat serait autre car les priorités se trouvent ailleurs».
El Hadj, commerçant de son état aux marchés «Dior » lui, se dit outré par la violence qui règne actuellement dans cette campagne. Il ne trouve pas que convaincre les Sénégalais puisse se faire par la force. Selon lui, en lieu et place de la lutte pour le Sénégal, les hommes politiques militent pour bien se positionner. Et, affirme-t-il «c’est ce qui a amené les coups de feu tirés à Touba».