Ce qui ne plait pas et pas du tout alors à Fadel Barro, c’est que le Sénégal est en train de perdre «sa réputation de terre d’accueil, de terre de liberté d’expression pour tout citoyen, même pas d’Africain mais du monde entier ». «C’est vraiment regrettable, c’est triste et c’est dommage », déplore le coordonnateur de « Y’en a marre ». Pire, note ce dernier : «depuis que le président Macky Sall est arrivé au pouvoir, on note systématiquement une frilosité vis-à-vis de certains régimes, de certains dirigeants Africains qui sont en train d’opprimer leur peuple ».
Alors que lance Fadel Barro : «c’est ici au Sénégal qu’on devait pouvoir en parler malheureusement quand on en parle, on est maltraité ». Le Y’en a marriste de crier à qui veut l’entendre: : «Nous sommes tous des Gambiens, nous sommes tous des Tchadiens parce qu’ils l’ont fait avec Mikaïla Ngebla, avec Koukoy Samba Sagna et aujourd’hui, c’est avec Sidya Bayo, c’est inacceptable, nous Y’en a marre nous le condamnons de la manière la plus ferme et nous pensons que les forces vives doivent se mobiliser pour arrêter ça parce qu’aujourd’hui c’est eux mais demain ce sera forcément nous, parce que nous les Sénégalais ne voyons pas de frontières entre les pays Africains, nous sommes libres, nous parlons comme nous voulons du Togo, du Burkina Faso et de la Gambie. Et si des Gambiens sont chez nous, ils sont maltraités, arrêtés, expulsés en catimini comme ce fut le cas avec Makaïla et aujourd’hui avec Bayo ».
«Il faut l’arrêter. Et c’est aux forces vives de le faire », sonne Fadel Barro sur les ondes de la Rfm.
Alors que lance Fadel Barro : «c’est ici au Sénégal qu’on devait pouvoir en parler malheureusement quand on en parle, on est maltraité ». Le Y’en a marriste de crier à qui veut l’entendre: : «Nous sommes tous des Gambiens, nous sommes tous des Tchadiens parce qu’ils l’ont fait avec Mikaïla Ngebla, avec Koukoy Samba Sagna et aujourd’hui, c’est avec Sidya Bayo, c’est inacceptable, nous Y’en a marre nous le condamnons de la manière la plus ferme et nous pensons que les forces vives doivent se mobiliser pour arrêter ça parce qu’aujourd’hui c’est eux mais demain ce sera forcément nous, parce que nous les Sénégalais ne voyons pas de frontières entre les pays Africains, nous sommes libres, nous parlons comme nous voulons du Togo, du Burkina Faso et de la Gambie. Et si des Gambiens sont chez nous, ils sont maltraités, arrêtés, expulsés en catimini comme ce fut le cas avec Makaïla et aujourd’hui avec Bayo ».
«Il faut l’arrêter. Et c’est aux forces vives de le faire », sonne Fadel Barro sur les ondes de la Rfm.