F. Aidara et A. Aidara âgées respectivement de 16 et 17 ans passaient la nuit dans une même chambre en location avec leur unique frère cadet et leur père. Ce dernier a voyagé au Nigeria où il a intégré une secte dans le but d’obtenir du pouvoir. Comme sacrifice pour avoir du pouvoir, le gourou de cette secte lui a donné comme consigne d’entretenir des rapports sexuels avec ses propres filles, autrement elles vont mourir.
De retour au bercail, le sieur Aidara a commencé à entretenir des rapports sexuels avec ses deux filles à l’époque âgées de 8 et 9 ans. Un supplice sexuel qui dure dix (10) ans. Finalement, la plus âgée des deux victimes fatiguée des assauts de son père, a décidé de le dénoncer. Elle s’est confiée à quelqu’un de son quartier en lui racontant ce que son géniteur leur faisait subir à sa sœur et à elle.
C’est ainsi que des notables du quartier, après s’être concertés, sont partis au commissariat de l’arrondissement de Yeumbeul Nord pour déposer une plainte. Aussitôt, une descente a été effectuée chez Aidara par les gendarmes qui y découvre un impressionnant arsenal mystique ainsi que la tête d’un singe dans la chambre.
Face aux enquêteurs, la fille cadette a déclaré qu’elle soupçonnait son père de la faire avorter mystiquement. « Quand j’ai constaté l’absence de mes règles durant trois (3) mois, j’en ai parlé à mon père. Il m’a fait boire une potion magique, ce qui a provoqué une fausse-couche et déclenché mes règles ».
De son coté, S. Aidara a nié avoir entretenu des rapports sexuels avec ses deux filles, même s’il reconnaît avoir tenté d’obtenir du liquide vaginal de celles-ci sur des instructions mystiques de leur secte basée au Nigéria dans le but d’avoir du pouvoir.
Il a été présenté devant le procureur de la République du Palais de justice, l’affaire pourrait être mise en instruction, a rapporté le journal.
De retour au bercail, le sieur Aidara a commencé à entretenir des rapports sexuels avec ses deux filles à l’époque âgées de 8 et 9 ans. Un supplice sexuel qui dure dix (10) ans. Finalement, la plus âgée des deux victimes fatiguée des assauts de son père, a décidé de le dénoncer. Elle s’est confiée à quelqu’un de son quartier en lui racontant ce que son géniteur leur faisait subir à sa sœur et à elle.
C’est ainsi que des notables du quartier, après s’être concertés, sont partis au commissariat de l’arrondissement de Yeumbeul Nord pour déposer une plainte. Aussitôt, une descente a été effectuée chez Aidara par les gendarmes qui y découvre un impressionnant arsenal mystique ainsi que la tête d’un singe dans la chambre.
Face aux enquêteurs, la fille cadette a déclaré qu’elle soupçonnait son père de la faire avorter mystiquement. « Quand j’ai constaté l’absence de mes règles durant trois (3) mois, j’en ai parlé à mon père. Il m’a fait boire une potion magique, ce qui a provoqué une fausse-couche et déclenché mes règles ».
De son coté, S. Aidara a nié avoir entretenu des rapports sexuels avec ses deux filles, même s’il reconnaît avoir tenté d’obtenir du liquide vaginal de celles-ci sur des instructions mystiques de leur secte basée au Nigéria dans le but d’avoir du pouvoir.
Il a été présenté devant le procureur de la République du Palais de justice, l’affaire pourrait être mise en instruction, a rapporté le journal.