Malgré les échauffourées ayant opposé les forces de l’ordre aux enseignants, ces derniers ont réussi à faire reculer le préfet de ce département qui avait interdit leur marche. En effet après une première interdiction, le chef de l’administration locale a convié le Secrétaire général du Saems à une rencontre à l’issue de laquelle un délai a été demandé aux enseignant pour prendre les dispositions nécessaires pour encadrer la marche.
«C’est le commissaire qui est venu tout de suite me demander de s’entretenir avec le préfet. J’ai effectivement vu le préfet qui nous a indiqué de lui laisser le temps de se réorganiser et permettre à cette marche de se dérouler», a déclaré le syndicaliste sur Sud Fm.
Et de poursuivre : «Nous sommes des républicains, nous pensons que quand il s’agit de nos droits, absolument rien ne peut être négocié sur ça, nous sommes déterminés».
Selon lui, cette interdiction n’avait pas son lieu d’être puisque cette marche, qui fait partie de leur sixième plan d’action a été précédée par ceux effectuées dans d’autres régions du Sénégal».
«Ziguinchor ne peut pas être une exception. Le préfet nous a donné une autorisation de marche encore que la marche obéit à un régime déclaratif. Nous l’avons déclarée en bonne et due forme. Nos camarades qui étaient là ont été auditionnés et par conséquent, nous ne pouvons qu’exercer et faire exercer le droit sénégalais», conclut-il.
«C’est le commissaire qui est venu tout de suite me demander de s’entretenir avec le préfet. J’ai effectivement vu le préfet qui nous a indiqué de lui laisser le temps de se réorganiser et permettre à cette marche de se dérouler», a déclaré le syndicaliste sur Sud Fm.
Et de poursuivre : «Nous sommes des républicains, nous pensons que quand il s’agit de nos droits, absolument rien ne peut être négocié sur ça, nous sommes déterminés».
Selon lui, cette interdiction n’avait pas son lieu d’être puisque cette marche, qui fait partie de leur sixième plan d’action a été précédée par ceux effectuées dans d’autres régions du Sénégal».
«Ziguinchor ne peut pas être une exception. Le préfet nous a donné une autorisation de marche encore que la marche obéit à un régime déclaratif. Nous l’avons déclarée en bonne et due forme. Nos camarades qui étaient là ont été auditionnés et par conséquent, nous ne pouvons qu’exercer et faire exercer le droit sénégalais», conclut-il.