Il a été arrêté début février et est toujours incarcéré à la prison de Soba dans la banlieue de Khartoum, en toute illégalité, dénonce Mahdi Rabih, membre de sa formation politique.
« C’est une détention purement politique. Khalil, c'est un des leaders les plus importants de ce mouvement démocratique. C’était l'une des figures qui se sont levées contre tout ce que faisaient les militaires pour arrêter cette procédure de transition démocratique. Et il a eu une responsabilité d’une commission de démantèlement de l’ancien régime de el-Bechir, et c’est pour ça qu’il a été la cible numéro un. »
Pour Madhi Rabih, ces emprisonnements visent à freiner le mouvement anti-coup d'État : « Il y en a une quinzaine maintenant en prison, ce sont tous des leaders de ce mouvement qui a créé d’une façon très efficace beaucoup de pression sur le régime. Et ils veulent les maintenir en prison le plus longtemps possible pour essayer de freiner le mouvement très actif contre le régime qui a été placé après le coup d’État du 25 octobre 2021. »
« C’est une détention purement politique. Khalil, c'est un des leaders les plus importants de ce mouvement démocratique. C’était l'une des figures qui se sont levées contre tout ce que faisaient les militaires pour arrêter cette procédure de transition démocratique. Et il a eu une responsabilité d’une commission de démantèlement de l’ancien régime de el-Bechir, et c’est pour ça qu’il a été la cible numéro un. »
Pour Madhi Rabih, ces emprisonnements visent à freiner le mouvement anti-coup d'État : « Il y en a une quinzaine maintenant en prison, ce sont tous des leaders de ce mouvement qui a créé d’une façon très efficace beaucoup de pression sur le régime. Et ils veulent les maintenir en prison le plus longtemps possible pour essayer de freiner le mouvement très actif contre le régime qui a été placé après le coup d’État du 25 octobre 2021. »