"Des attaques ont endommagé 639 écoles primaires et secondaires dans le Grand Kasaï où de nombreuses établissements servent aujourd'hui de lieu d'hébergement de fortune pour les déplacés", écrit l'Unicef dans un communiqué publié vendredi.
Selon le Fond des Nations unies pour l'Enfance (Unicef), d'autres infrastructures scolaires sont occupées par les milices ou des forces combattantes.
"Face à la violence, les enseignants hésitent à se rendre dans leurs écoles", ajoute le texte.
Depuis septembre 2016, la région du Kasaï est secouée par la rébellion de Kamwina Nsapu, chef traditionnel tué en août par les forces gouvernementales.
M. Nsapu s'était révolté contre les autorités de Kinshasa.
Ces violences qui impliquent miliciens, soldats et policiers ont fait plusieurs centaines des morts et causé le déplacement de 1,3 million de personnes.
Selon le Fond des Nations unies pour l'Enfance (Unicef), d'autres infrastructures scolaires sont occupées par les milices ou des forces combattantes.
"Face à la violence, les enseignants hésitent à se rendre dans leurs écoles", ajoute le texte.
Depuis septembre 2016, la région du Kasaï est secouée par la rébellion de Kamwina Nsapu, chef traditionnel tué en août par les forces gouvernementales.
M. Nsapu s'était révolté contre les autorités de Kinshasa.
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